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Recherche par lecteur : Julliette Houzard

6 résultats.

Durée:3h. 5min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21782
Résumé: Que faire de ses penchants ? T'assignant cinq heures par jour, un mois durant, à ton ordinateur, tu te donnes pour objet de raconter le souvenir que tu as d'une femme ou autre que tu as désirée ou qui t'a désirée. Tu les prendras dans l'ordre où elles te reviendront en mémoire. Tu les coucheras ensuite dans l'ordre impersonnel de l'alphabet. Mais pourquoi cet exercice, d'une ironie peut-être cruelle ? Dissiper ou digresser tes désirs. Car la vie est trop courte pour se résigner à lire des livres mal écrits et coucher avec des femmes qu'on n'aime pas. Affaire de style. Ne risques-tu pas, entendant pourtant t'écarter des mœurs de ton temps et esquiver son idolâtrie du désir, d'y succomber ? Peut-on échapper à la publicité du désir ? Et si, croyant résister à son assujettissement, tu ne faisais que pratiquer cette forme - si française - de résistance qui s'appelle la collaboration ?
Durée:14h. 54min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22429
Résumé: Alors ça fait mal là, et puis là ça tire, et quand je fais ça j'ai comme une douleur de l'autre côté, alors vous comprenez, Docteur, j'ai préféré vous appeler pour vous en parler, des fois que... Tu les écoutes dix fois, cent fois de suite. Tu as de la patience, docteur Sachs, tu rassures toutes leurs angoisses, tu écoutes leurs mots pour mieux soigner leurs maux. À toi, on peut tout dire, d'ailleurs on te dit tout. Et tout ce qu'on te dit, tu en feras un roman : parce que tu ne peux pas tout garder pour toi, parce que toi aussi, tu as des maux à dire. C'est ça, La Maladie de Sachs : une succession de récits apparemment anodins, qui se rejoignent, se complètent et finissent par trouver un sens : l'histoire d'une vocation mêlée à un trop-plein de sentiments. Roman singulier, roman exceptionnel : l'ouvrage de Martin Winckler rencontra un accueil enthousiaste et reçut le prix du Livre Inter 1999, avant qu'Albert Dupontel ne vienne incarner le docteur Sachs dans l'adaptation cinématographique de Michel Deville : La maladie de sachs.
Durée:27h. 59min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:23235
Résumé: Photographies, manuscrits, notes, correspondances, petits mots laissés sur une table, extraits de textes accompagnant les images, comme des légendes griffonnées sur les pages d'un album de famille… Autant d'éléments juxtaposés, qui composent une partition d'où émerge la figure d'un être profond, et la construction d'une œuvre. L'enfance, la mère, l'adolescence, l'écriture, l'Indochine, les livres et l'amour, le théâtre, le journalisme, Trouville et la rue Saint-Benoît, l'amitié, la douleur et la solitude… Tout est là. Qui donne furieusement envie de relire les romans de Duras, de voir ses films, de se plonger avec délices dans l'œuvre de ce grand écrivain. "Je n'ai jamais menti dans un livre.", voilà par quelle citation Laure Adler a choisi de commencer. Manière de rappeler que c'est là avant tout qu'il faut chercher la vérité de Duras. Un très bel hommage.
Durée:7h. 27min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:22252
Résumé: Chaque année, partout, des gens s'évanouissent du jour au lendemain dans la nature, sans laisser la moindre trace. Un père de famille, une sœur, des amoureux partis faire du camping en montagne... Le meurtre, toujours, est envisagé, l'histoire sordide incroyable, la rencontre d'un monstre... Chet Sladen, journaliste spécialisé dans les faits divers, tient là un sujet en or pour relancer son journal en faillite. Son rédac chef le harcèle. Le public veut du sang, de l'émotion, du mystère. Une danseuse disparue dans sa loge des mois plus tôt sans que personne ait compris ce qui lui était arrivé semble être une accroche du tonnerre. Chet, qui réouvre l'enquête, ne sait pas encore à quel point il a raison.
Durée:13h. 20min.
Genre littéraire:Science-fiction
Numéro du livre:21069
Résumé: " Aux confins du temps ". 2020 : les Etats-Unis émergent lentement de la barbarie où les a plongés une terrible guerre avec la Chine ; l'absence de gouvernement central prive Washington de ses anciennes prérogatives, et la Nouvelle-Angleterre est coupée du reste du continent dévasté. C'est dans ce monde qu'il ne reconnaît plus pour sien que Ben Turnbull, ancien conseiller financier dans un cabinet de Boston, vit sa propre déchéance, au rythme des saisons de sa soixante-sixième année et au fil d'un temps qui se situe entre rêve et réalité, science et science-fiction, et qu'il essaie d'apprivoiser dans les pages d'un roman aux allures de journal (très) intime. Fantasmes avortés, questionnements sur l'origine et la fin de l'univers, regrets de n'avoir pas " suffisamment prêté attention au monde " au moment où survient la maladie, peut-être mortelle, angoisse devant la décrépitude physique : le tableau serait sombre s'il n'était éclairé par un humour qui tourne parfois à l'ironie, la constante célébration de la nature, évoquée avec un extraordinaire sens de l'observation et de la poésie, et par la puissance et l'affirmation de la vie chez un homme aux pouvoirs visionnaires qui donnent à l'approche de SON hiver une dimension symbolique universelle. " Aux confins du temps " ou la tentation de l'apocalypse vaincue. John Updike est né en 1932 à Shillington, en Pennsylvanie. Après des études supérieures à Harvard, puis à la Ruskin School of Drawing and Fine Arts d'Oxford, il collabore au New Yorker dès 1955 et s'installe dans le Massachusetts en 1957. Depuis la parution de son premier roman en 1958 - " Aux confins du temps est le dix-huitième " - John Updike a vu ses œuvres récompensées par le National Book Award, l'American Award, le National Book Critics Circle Award, le prix Médicis et le prix Pulitzer. Ecrivain éblouissant, infatigable, qui s'attache à rendre le banal avec une tendresse pour ses personnages ordinaires, et une richesse de style, il s'est vu reprocher par Anthony Burgess son " hérésie démocratique ".
Durée:18h. 30min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:21066
Résumé: Kay Scarpetta, médecin légiste en Virginie, est encore traumatisée par l'agression subie lors de sa précédente enquête Cadavre X. Attaquée de nuit à son domicile par Jean-Baptiste Chandonne, tueur en série d'origine française, elle a réussi à sauver sa peau en l'aveuglant avec du formol. Mais la rumeur publique et la presse à sensation ne lui laissent aucun répit. Avec un bras dans le plâtre, Kay se retire un temps chez sa vieille amie Anna. Elle y apprend que Chandonne ne sera pas jugé en Virginie : il a été transféré à New York où la célèbre Jaime Berger, assistante du procureur, s'occupe du dossier. Rapide en besogne, elle a déjà interrogé longuement le tueur qui se dit innocent des meurtres dont on l'accuse. À l'entendre, c'est un complot monté contre lui par le FBI pour coincer sa famille parisienne soupçonnée de collusion avec la mafia. Et de fil en aiguille, Kay comprend qu'elle risque d'être soupçonnée du meurtre de Diane Bray, sa supérieure, que Chandonne a pourtant assassinée. Avec sa nièce Lucy et le policier Pete Marino, elle va s'efforcer de mettre en miette cette nouvelle machination. Mais devra rouvrir le dossier sur la disparition brutale de Benton Wesley, son amant. Suite de Cadavre X, auquel il emprunte la plupart des protagonistes et une partie de son intrigue, ce onzième épisode de la série des aventure de Kay Scarpetta maintient la pression jusqu'à la page ultime avec des rebondissements soigneusement élaborés.