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Recherche par lecteur : Françoise Boyer

2 résultats.

Durée:4h. 11min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:21380
Résumé: Ce livre est le récit d'une amitié : entre Samuel Beckett, le peintre Avigdor Arikha et sa femme, Anne Atik, scribe minutieuse de leurs rencontres. Trente ans d'une conversation ininterrompue, à Montparnasse et ailleurs. Trente ans de discussions, de confidences, de silences. En s'effaçant constamment derrière les deux hommes, Anne Atik parvient, grâce à son étonnant sens du détail, à capturer ces instants, jamais ordinaires, d'une vie avec " Sam ". Fragments d'intimité où Beckett révèle sa passion pour la poésie, la peinture et la musique, et aussi une immense tendresse. C'est cette spontanéité qui fait de Comment c'était un récit unique et bouleversant.
Durée:13h. 57min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21534
Résumé: L'une s'appelle Francesca, l'autre Nunziata : deux femmes issues du petit peuple de la région de Naples, deux générations (entre 1848 et 1940) au service du " bel art " de la pasta napoletana, ce régal des connaisseurs de toute la péninsule. Francesca a appris de son grand-père meunier les secrets du métier. Elle développera le petit atelier artisanal jusqu'à en faire une entreprise florissante, puis transmettra le meilleur de son savoir à Nunziata, une orpheline qu'elle a élevée parmi ses neuf enfants à la suite d'un vœu. Cette dernière finira par s'installer à son compte et par rivaliser avec ses anciens bienfaiteurs... dont elle rachètera la " villa u orgueilleusement installée sur les pentes du Vésuve. Mais les deux femmes ne se bornent pas à s'affronter (tandis que les hommes de la famille font de leur mieux pour dilapider le bien patiemment amassé), elles savent s'estimer, se secourir quand il le faut - en tout cas faire front quand tout conspire à ruiner leur grand rêve... Maria Orsini Natale sait mettre au service de son récit une érudition qui fait merveille, mais cela n'a jamais suffi à produire un bon livre. Elle parvient aussi et surtout à ressusciter la sensualité d'un art de vivre confié pour l'essentiel au bon génie des femmes. Voir ce Naples-là ne donne pas spécialement envie de mourir : plutôt envie de vivre-et de mordre l'existence à belles dents.