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L'Opoponax

Résumé
L'histoire d'une petite fille, de l'école maternelle à sa dernière année scolaire. Véronique Legrand n'a pas vraiment d'histoire, elle vit comme tous les enfants, entre ses maîtresses et ses camarades, au gré de ses préoccupations et des jeux de récréation.
Durée: 6h. 46min.
Édition: Paris, Minuit, 2018
Numéro du livre: 67500
ISBN: 9782707344472
Collection(s): Double

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Lu par:Agnès Baron
Durée:6h. 40min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:66546
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Durée:4h. 32min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Durée:11h. 51min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
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Durée:3h. 26min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:38884
Résumé: Un homme – appelons-le le narrateur – donne rendez-vous à une femme prénommée Lena dans le grand cimetière de Stockholm. Cette femme est une inconnue (nous apprendrons plus tard qu’elle est comédienne et a joué Mademoiselle Julie au théâtre), mais elle rappelle intensément au narrateur la jeune femme dont il a été très amoureux il y a une vingtaine d’années. Cette dernière s’appelait Magdalena, était aussi comédienne et elle aussi avait joué Strindberg. Après leur rupture, le narrateur a écrit un livre sur les trois années qu’ils ont vécu ensemble et il veut en donner les détails à l’inconnue de Stockholm. Lena accepte de l’écouter, mais se moque des similitudes qui lui semblent forcées entre sa vie et celle de Magdalena, invoquant à chaque détail troublant une coïncidence et ne cessant de répéter qu’elle ne peut être Magdalena puisqu’elle a vingt ans de moins. Ce récit de Peter Stamm, ciselé en 37 petits chapitres et dont le titre rappelle « la tendre indifférence du monde » évoquée par Camus à la fin de L’Étranger, est d’une vertigineuse intelligence. Tout en conservant sa part épique qui n’en fait pas un livre sec, cette réflexion sur les confusions de la vie, les obsessions de l’existence, la portée de la littérature, la différence entre le vécu et le récit qui en est fait, frôle sans cesse les abîmes sans jamais tomber dans la confusion, encadré qu’il est par deux chapitres qui mettent encore ce kaléidoscope en perspective. Poursuivant la recherche sur la vérité et l’imaginaire et le jeu avec la réalité initiée dans L’un l’autre, Peter Stamm nous donne un livre diablement virtuose
Durée:10h. 55min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:74441
Résumé: Aucune histoire n’est simple et sans doute pas celle-ci. Née a Saigon au Vietnam, la narratrice quitte ce pays en guerre durant sa petite enfance avec sa famille. pour venir vivre en France. Certains d’entre eux, comme elle, ont perdu la mémoire. Les souvenirs d’enfance la fuient, la poussant à plonger dans les eaux glacées de l’oubli, à se perdre dans les méandres qui l’ont construite pour retrouver son histoire à travers la folie et la rage des parents, la faim, l’abandon, l’écho des bombes au Vietnam assourdi par les chansons d’Elvis à la radio… [Prix J.-J. Rousseau de l'autobiographie 2023]
Durée:7h. 5min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Pendant les années soixante-dix à Buenos Aires, un archiviste du Congrès régale tous les soirs ses garçons de l'histoire de Justino qui, loin des strass hollywoodiens, a tout d'un Rocky argentin : le regard doux et franc, le sourire candide. Son fait d'arme : l'unique victoire par KO sur un adversaire qui deviendra champion national et à qui, toujours, il a refusé la revanche en raison d'une promesse faite à son épouse. Cette revanche a peut-être eu lieu, les variantes abondent, mais si le récit plaît tant c'est que l'énigme sportive se double d'une intrigue qui concerne les enfants au premier chef. L'ex-boxeur, reconverti en serrurier horloger, est au cœur d'un autre combat, amoureux celui-là, que se livrent les tantes des enfants, deux vieilles filles aigries jusqu'à la moelle qui cachent de frémissants secrets sous une irrésistible bigoterie. Seule la vieille horloge de la famille, entretenue autrefois par Justin, pourrait combler les lacunes de l'histoire. Les garçons devenus adultes en retrouvent la clef, mais le temps grippe tous les mécanismes... La parole collective, qui circule savamment entre les fils, densifie les symboles pour mettre au jour les rapports fraternels, l'amour et ses promesses, le paradis perdu de l'enfance et la complaisance d'une génération face à la dictature.
Durée:3h. 54min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:34122
Résumé: Quelques mots singuliers entendus enfant dans la conversation ses grands, quelques cartes figurant les monuments d'une cité mythique, un livre qui tombe d'un rebord de table et s'ouvre à la page du 2 mai 1950, une villa blanche qui vous rappelle l'Afrique, et un vieux poste de radio, et revoilà la légende du Rosebud, le souvenir qui imprègne le présent et dont le parfum ne se dissipe jamais, et qui aide, transforme l'avenir en un jardin vivable, comme Bogart trouve la force de quitter Ingrid Bergman en lui disant, pendant que l'avion mouline du brouillard sur la piste, We'll always have Paris. " Et c'est ainsi, dans Casablanca, que les deux amants réussissent à continuer à vivre, à se séparer s'il le faut et à suivre chacun son propre chemin, en se souvenant de leur idylle dans le Paris d'avant l'occupation allemande. En puisant dans cette réserve de lumière. Avec ce livre entièrement dédié à un sentiment, celui du " merveilleux ", à sa naissance et son cours à travers la vie d'un homme - la sienne - l'auteur nous invite à le suivre dans son propre puits de lumière. Nous aurons toujours Paris est conçu sous forme de boucle, et c'est dans le perpétuel aller-retour entre les rêveries de l'enfant, ses projections et leur prolongeaient à l'âge adulte, dans leur décalage, souvent, que se glisse le merveilleux, que se construisent la vie et l'œuvre, avec leurs impasses, fausses pistes, déceptions et surprises. Il n'est donc pas, ou très peu, question de Paris dans ces pages. Mais plutôt de pérégrinations et de rencontres : du Japon à l'Afrique, et de julien Gracq à Ismail Kadaré ou Albert Cossery, quand ce n'est pas l'ombre du toujours énigmatique B. Traven.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Détélina habite seule avec son fils Léo, un enfant différent qui vit dans son propre monde fait de rituels et de couleurs. Dans leur village de montagne, de mines désaffectées et de tourisme, un jeune ukrainien du Donbass arrive un jour, à la recherche de ses origines. Léo accepte sa compagnie.