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Recherche par auteur : Tunström, Göran

2 résultats.

Durée:12h. 56min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:31324
Résumé: Voici l'histoire de Johan, issu d'un milieu misérable et dépravé, qui deviendra l'un des plus savants érudits de son temps pour avoir conçu l'invraisemblable projet de dérober la Bible d'Argent. Petit-fils de ferrailleur, Johan naît dans les bas-fonds de la petite ville suédoise de Sunne, où il décide qu'il sera voleur. Quand il s'introduit dans la maison pleine de livres d'un vieux professeur, c'est la culture qu'il vole, qui allume en lui un formidable appétit de connaissance. Plus tard, il partira à la recherche de la Bible d'Argent, ce livre-relique aux capitales gothiques enluminées... Un voyage au cœur de l'absurdité et de la folie, porté par une inspiration splendide.
Durée:6h. 51min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:13789
Résumé: Partir en hiver,du romancier suédois Göran Tunström,témoigne d'une aptitude rare : celle de s'abandonner au voyage et de larguer ses préjugés, en acceptant de vivre pleinement les rencontres, les hasards, les quiproquos. De ses séjours en Inde et au Népal, Tunström restitue le bonheur d'être à l'écoute et en éveil. D'où sa capacité à percevoir la souffrance et la joie, le laisser-aller et l'ironie. Ainsi, lorsqu'il visite une réserve d'animaux et suit un gamin dont le rôle est précisément de lui faire découvrir des rhinocéros... " Sur la berge, j'ai pris la main de Linus, petite et mince, et nous avons marché dans les hautes herbes. Un peu après, nous avons vu des traces de rhinocéros, puis du crottin frais, et j'ai demandé au garçon qui nous guidait : " Qu'est-ce qu'il va se passer si un rhinocéros s'amène ? " Le garçon a fait tournoyer sa canne et répondu avec sérieux : " Je prie Dieu sans arrêt pour qu'ils ne viennent pas. " A l'opposé de Göran Tunström se tient Ma Jian, qui regroupe cinq nouvelles sous le titre de la Mendiante de Shigatzé. S'il était besoin de prouver l'incompréhension radicale qui existe entre Chinois et Tibétains, cet ouvrage y suffirait à lui seul amplement. Après quelques mois passés au Tibet, Ma Jian livre donc les temps forts de son périple. S'exprime là une sorte d'effarement dégoûté allié à une rigoureuse méconnaissance des moeurs et coutumes tibétaines. On ne peut imaginer voyageur plus obtus et plus sûr de sa supériorité. Chez nous cela porte un nom : le racisme.