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Recherche par auteur : Roth, Joseph

3 résultats.

Durée:6h. 36min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:65812
Résumé: Roman d’exil qui tend au tragique (c’est la destinée de tout un peuple qui se lit en filigrane du drame familial et personnel de Mendel Singer), Job, roman d’un homme simple est écrit dans un style simple mais puissant. S’il emprunte parfois au Livre de Job dont il s’inspire, c’est pour renforcer son caractère exemplaire, c’est pour accentuer les souffrances d’un personnage qui en vient peu à peu à douter de son Dieu… Et pour confirmer le talent littéraire hors-pair de Joseph Roth
Durée:4h. 30min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:38201
Résumé: " La Rébellion apparaît aujourd'hui comme un roman étonnamment moderne, tant par sa précision et sa tonalité incisive que par sa puissance symbolique et sa capacité d'évoquer la misère morale de la Vienne des années vingt. Il faut redécouvrir cette œuvre sombre, d'une cruelle intelligence historique. " [Source : J.C. Lebrun, Révolution]
Lu par:Claude Fissé
Durée:5h. 29min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:17759
Résumé: " Le récit de Notre assassin se déroule tout entier dans un bar parisien où se retrouvent des habitués venus de l'autre bout de l'Europe. Le narrateur, journaliste un peu paumé connaissant bien les pays slaves, y tient aussi ses quartiers. Un des clients, un soir de beuverie, raconte son historie : misère, trahison, errance. Tout l'univers de Joseph Roth (1894-1939) est de cette scintillante noirceur - celle de Satan. On y retrouve la Russie de l'enfance, celle des moujiks écrasés et des princes insolents, celle des mouchards et des folies à la française. On y retrouve le rêve que Roth ne cesse de poursuivre, celui de réussir et de se sauver à la fois... Un ton neuf cependant se dégage de ce récit troublant, plein de rebondissements et d'aventures sombres : Notre assassin est un vrai roman russe " dans les personnages aussi bien que dans le rythme ", écrivait à son propos Stefan Zweig. " (Babelio)