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Recherche par auteur : Naouri, Aldo

3 résultats.

Durée:13h. 37min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:15773
Résumé: Quand nos enfants déraillent, il faut se poser les vraies questions. Les conditions sociales n'expliquent pas tout. Et l'amour ne suffit pas ! Et si la cause du mal résidait dans un déficit de réflexion sur ce que doit être l'éducation de nos enfants ? La vie en société exige en effet de chacun qu'il se plie à un certain nombre de règles et qu'il les fasse siennes. C'est le principe de toute éducation. On s'en est singulièrement écarté. Mais avant toute chose, il faut savoir ce qu'est un enfant, ce qu'il lui faut vraiment pour devenir adulte, comment se comporter avec lui en tant que parent. Et surtout comment, dès les premières années qui sont décisives, exercer au mieux le difficile métier de parent. Le regard lucide d'un pédiatre sur ce qui fait aujourd'hui défaut dans notre façon d'élever nos enfants...
Durée:10h. 21min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:26223
Résumé: Comment une mère peut-elle haïr la femme qui aime son fils?? Pourquoi une femme qui aime un homme en vient-elle à détester la mère avec laquelle cet homme a construit sa perception de l'amour?? Et que dire des brus et des belles-mères qui s'entendent?? Pédiatre et explorateur des liens familiaux, Aldo Naouri ouvre sa réflexion par un préambule linguistique. L'introduction, au Xe siècle, du préfixe «?beau?» dans le lexique de parenté avait semble-t-il une fonction précise?: signifier tout l'espoir que l'on peut avoir à ne pas voir les personnes ainsi nommées devenir mauvaises. Pour retracer la genèse de ces liens de parenté plutôt tendus, l'auteur convoque la religion, la paléontologie, l'anthropologie, la psychanalyse, la biologie et nous entraîne en Kabylie, en Chine et en Ukraine.
Durée:6h. 8min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:32615
Résumé: Dans nos sociétés occidentales, les générations montantes ont toutes raisons de se fier aux voies qui leur ont été tracées : il n'y aurait pas de différence entre les sexes, il n'y aurait que de scandaleuses inégalités de traitement, alors même que les femmes peuvent exercer avec talent tous les métiers, y compris ceux qui ont été longtemps réservés aux hommes. Ce qui, plus que leur assurer une pleine indépendance, restaure enfin leur dignité. Et dire que leurs arrière-grands-mères, voire leurs grands-mères et parfois même leurs mères, se sont laissé prendre au piège de l'attente du Prince charmant quand ce n'est pas à l'illusion qu'en amour on ne compte pas ! Elles vont occuper la place qui leur convient et résoudre enfin ces problèmes d'argent qui aliénaient souvent leurs ascendantes. Ce n'est pourtant pas toujours le cas pour celles qui en ont fait ou qui en font l'expérience. Comme elles savent, depuis qu'elles se sont mises à "gagner leur vie", que rien n'est gratuit, on espérerait les entendre se demander si le virage qui leur a été proposé n'est pas responsable de la précarité des couples. Elles cherchent des hommes qu'elles ne trouvent pas, occupés qu'ils sont à s'interroger sur ce qu'elles peuvent bien vouloir. Leur aurait-on fait sacrifier à leur insu quelque chose qui leur assurait un équilibre, fût-il fragile ? Si oui, quoi et pour quelle raison ?