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Recherche par auteur : Jaccard, Roland

4 résultats.

Durée:3h. 44min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:7215
Résumé: L'inventeur de la psychanalyse, Sigmund Freud, nous a appris que l'homme est fondamentalement la proie de son enfance. Tout ce que la psychanalyse a dévoilé trouve son sens dans cette investigation têtue, interminable, terrible autant que banale, de notre préhistoire. De cette obsession des origines est née une nouvelle mythologie. Grâce à une approche à la fois biographique et théorique, cet ouvrage se propose d'explorer le parcours mystérieux de l'inventeur d'une science et d'une thérapie qui, depuis plus d'un siècle, a investi la culture au point que son langage est devenu le nôtre.
Durée:2h. 1min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:65510
Résumé: Il n'y a pas de philosophie de Wittgenstein, il y a l'histoire d'un homme qui lutta pied à pied contre la folie et le suicide avec pour seules armes la logique et l'éthique. Tel est l'axe de lecture que s'est donné Roland Jaccard pour enquêter sur Wittgenstein.
Durée:1h. 40min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:39281
Résumé: Sous forme de prolongement du Journal d'Amiel, écrivain suisse dont l'œuvre fait dix-sept mille pages, Roland Jaccard imagine les derniers moments de la vie d'Amiel. Chaque jour est le dernier pour Henri-Frédéric Amiel et c'est pourquoi il conjure son angoisse de la mort en tenant son journal. Roland Jaccard se substitue à lui alors qu'il agonise et se remémore ce que fut sa vie. Et, paradoxalement, il y trouve plus de raisons de se réjouir que de se lamenter. Cet inlassable séducteur tergiverse sans fin sur les avantages et les inconvénients du célibat. Travaux pratiques à l'appui. Ce mélancolique fait tourner les têtes sans pour autant y sacrifier la sienne. Rien ne saurait pourtant lui faire oublier sa tendre Cécile qui s'est suicidée à la fleur de l'âge...
Durée:3h. 4min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19193
Résumé: Il m'est pénible de l'avouer, mais je suis un pauvre type. Je n'ai pas le souvenir de l'avoir toujours été. Cette foutue tendance à embellir le passé. Mais c'est vrai, il est arrivé parfois que ma vie tienne ses promesses, qui étaient de ressembler à Hollywood. Et puis, petit à petit, les étoiles ont disparu de ma galaxie et je me suis retrouvé seul dans ce café parisien, face à l'église Saint-Sulpice, avec un stylo feutre et une feuille de papier. Un thé sur une table en formica et quelques biscuits. Ce n'est pas rien, me direz-vous. Et vouc ajouterez : surtout ne me racontez pas votre vie. Cela tombe bien, je n'en avais pas l'intention.