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Recherche par auteur : Hubbell, Sue

2 résultats.

Durée:12h. 48min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:75058
Résumé: Après avoir divorcé et quitté sa ferme apicole dans les monts Ozarks, S. Hubell vit un nouvel amour et s'installe dans le Maine, au bord de la mer. Elle se passionne pour la faune marine et observe les petits animaux qui peuplent les rivages. Elle établit des comparaisons entre ces animaux et l'homme, rappelant que l'espèce humaine n'est supérieure à aucune autre.
Lu par:Alain Burnand
Durée:8h. 11min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:18979
Résumé: Un jour, Sue Hubbell, biologiste de formation, ayant travaillé comme bibliothécaire, lasse de vivre en marge de la société de consommation de l'Est américain, décide de changer de vie. Avec son mari, elle part à la recherche d'un endroit où ils pourraient vivre loin des villes, suivant l'exemple du poète Thoreau. Après avoir cherché, ils trouvent cette ferme dans les monts Ozark, au sud-est du Missouri, et, ne connaissant rien à l'agriculture ni à l'élevage, ils décident de créer une "ferme d'abeilles ". Alors commence pour Sue Hubbell une aventure dont elle n'imagine pas les conséquences. Les saisons, les années passent, maintenant dans la solitude car son mari l'a quittée, et cette femme qui n'avait de la nature qu'une connaissance théorique découvre lentement l'immensité de l'univers qu'elle s'est choisi : sur ces quelques hectares de collines où, depuis la disparition des Indiens Osages, aucun être humain ne s'est vraiment arrêté, la vie a établi ses lois et ses règles, tissant un réseau de dépendances entre tous les habitants : les plantes, les insectes, les araignées, les serpents, les oiseaux, les mammifères, et même les parasites et les bactéries. L'entrée dans ce monde n'est pas simple. Pour Sue Hubbell, c'est un véritable bouleversement. Elle qui croyait- par son éducation, par ses études- tout savoir de la vie animale découvre sur ces arpents de terre que la vie naturelle est un bien meilleur professeur, parce qu'elle laisse le savoir germer et mûrir comme tout ce qui est vivant et vrai. (J.-M. G. Le Clezio)