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Qui m'a tué?: chronique d'un Genevois devenu Neuchâtelois par amour

Résumé
Aloys (prénom d'emprunt), ouvrier-vigneron très connu dans les bistrots de Cortaillod et de Boudry, disparaît mystérieusement une nuit d'octobre 1960. Accident? Meurtre? Dans l' Au-delà depuis cinquante ans, Aloys nous raconte sa vie, ses rencontres sur Terre. Dans l' Au-delà, il se forme un petit groupe d'âmes flottantes, toutes liées, par hasard, au tragique destin d' Aloys. Le temps là haut est infini. Alors ce groupe se distrait en se racontant des anecdotes de la vie neuchâteloise des années 1945 à 1960, parfois drôles, parfois dramatiques.
Durée: 2h. 27min.
Édition: Neuchâtel, G. Attinger, 2010
Numéro du livre: 72121
ISBN: 9782940418251

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Durée:4h. 50min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:13517
Résumé: ...Bien que situé en l'an mil, ce n'est pas vraiment un roman historique. Il tient plutôt du conte cruel, avec un fond de réalisme rugueux. Au-delà des étiquettes, ce texte prenant mérite de trouver des lecteurs. Donné comme la transcription d'un manuscrit ancien trouvée dans une épave de voiture, le texte que nous lisons aurait été recopié sur les murs d'un couvent en ruine. Il s'ouvre abruptement: par une nuit de Noël, une femme accouche de jumeaux dans la neige, alors qu'un incendie ravage le village. Elle meurt, ses "souriceaux" sont sauvés par leur instinct de survie. Les hommes sont à la guerre, les femmes à la peine. C'est un temps déraisonnable. Wolfgang et Luisa grandissent au hasard, gardés par une débile, Martha. Leurs jeux sont violents, meurtriers. Olivier Sillig jette les événements en phrases brèves, presque sans verbes, lançant des images en gerbe (peut-être parce qu'il est également cinéaste)...Isabelle Rüf / Le Temps
Durée:3h. 51min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:74475
Résumé: Installée en Suisse depuis son plus jeune âge, elle ne s’était jamais préoccupée de son père biologique, un ingénieur britannique avec qui sa mère avait eu une liaison alors qu’elle-même travaillait sur le chantier du réacteur. Mais la dépêche marquant la fin d’un cycle, celui de l’utopie nucléaire, ébranle la narratrice au point qu’elle décide d’en savoir plus sur son géniteur. La voici à Holyhead, au pays de Galles, où il a vu le jour. La chance lui fait obtenir une adresse dans le Michigan. La lettre qu’elle écrit restant sans réponse, elle s’autorise à inventer une vie à cet homme qu’elle ne connaît pas et qui ne l’a jamais reconnue. Les quelques jalons dont elle dispose déterminent les étapes de sa recherche : elle se retrouve à visiter les centrales où a travaillé l’ingénieur mécanicien reconverti dans le nucléaire, sur l’île d’Anglesey d’abord, puis à Taïwan et enfin, après la parenthèse coréenne, à Monroe, au bord du lac Érié. Partie sur les traces d’un père, Rinny Gremaud va trouver des centrales atomiques. Sans se départir de la distance et de l’ironie qui font le sel de ce livre, mais aussi sa grande pudeur, elle va magnifiquement entrelacer enquête journalistique et quête intime, faisant de ce generator un personnage de papier qui s’enrichit du silence de son modèle
Durée:3h. 40min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:74447
Résumé: Enfant, le dimanche, Bruno Pellegrino se réveille tôt: il lui faut vider et reclasser son bureau. Dans le tiroir du bas: les objets à sauver le jour où la maison brûlera. Devenu adulte, il cherche toujours une issue entre la hantise de perdre et l'obsession de s'alléger, qu'il trie les archives d'une écrivaine décédée, se lance sur la piste d'une poétesse inconnue ou cherche à fixer un souvenir d'enfance. Des pages lumineuses sur notre besoin de conserver et le bonheur de lâcher du lest.
Durée:9h. 12min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:76032
Résumé: L’histoire d’Emile Jeanneret né au Locle en 1758. Fils de charpentier il en apprend le métier et son excellence le conduira à réaliser des travaux compliqués comme la réparation des moulins sous-terrains du Col-des-Roches. Doté d’un grand talent de dessinateur, il est engagé dans les manufactures d’indiennes neuchâteloises et sera choisi pour illustrer un beau livre sur les papillons d’Amazonie. Grâce à son parrain Abraham Louis Perrelet, il se rend à Genève pour apporter la première montre automatique à la Société des Arts. Il fait ainsi la connaissance d’une famille de banquiers et connaîtra l’amour avec la fille du pater familias. Il visite (et espionne…) la fabrique d’indiennes des Fazy, puis rencontre David Purry à Lisbonne qui l’envoie au Brésil pour réparer les galeries de ses mines de diamant. Il découvre ainsi le commerce triangulaire avec son lot de souffrances. Le travail au Brésil s’avère plus compliqué que prévu et Emile ne doit la vie sauve qu’à l’intervention musclée de son frère parti à son secours. L’ouvrage est basé sur le journal tenu par Emile Jeanneret et retrouvé par miracle.
Durée:5h. 30min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:19353
Résumé: Juillet 1938. La tourmente qui se lève sur l'Europe fait craindre le pire. À Morges, sur la rive suisse du Léman, on se sent pourtant à l'abri, protégé par des siècles de neutralité ; de la guerre, on ne connaît que les bisbilles opposant les catholiques aux protestants et les Romands aux Suisses- Allemands. Mais, au cours de l'été, la petite ville est mise sens dessus dessous par l'arrivée d'une baronne hongroise à l'insolente beauté, qui apporte dans son sillage tous les désordres de la Mitteleuropa, la nostalgie de l'Autriche- Hongrie, la haine de l'Anschluss, la hantise des Bolchéviks et la terreur des Croix-Fléchées. Elle a loué pour deux mois une maison proche des berges. Deux mois, peut-être plus.Est-elle en fuite ?
Durée:11h. 37min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:18890
Résumé: Londres, 1940. Soucieux de pallier l'anéantissement de l'armée britannique à Dunkerque, Winston Churchill a une idée qui va changer le cours de la guerre : créer une branche noire des services secrets, le Special Operation Executive (SOE), chargée de mener des actions de sabotage et de renseignement à l'intérieur des lignes ennemies et dont les membres seraient issus des populations locales pour être insoupçonnables. Du jamais vu jusqu'alors. Quelques mois plus tard, le jeune Paul-Émile quitte Paris pour Londres dans l'espoir de rejoindre la Résistance. Rapidement recruté par le SOE, il est intégré à un groupe de Français qui deviendront ses compagnons de coeur et d'armes. Entraînés et formés de façon intense aux quatre coins de l'Angleterre, ceux qui passeront la sélection se verront bientôt renvoyés en France occupée pour contribuer à la formation des réseaux de résistance. Mais sur le continent, le contre-espionnage allemand est en état d'alerte... L'existence même du SOE a été longtemps tenue secrète. Soixante-cinq ans après les faits, Les Derniers jours de nos pères est un des premiers romans à en évoquer la création et à revenir sur les véritables relations entre la Résistance et l'Angleterre de Churchill.
Durée:6h. 52min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:29735
Résumé: La publication des Lettres neuchâteloises, en 1784, fit scandale. Voilà un petit chef-d'œuvre qui entrelace subtilement un roman d'amour de la bonne société et les mésaventures d'une fille du peuple venue se brûler à la ville, qui fait voisiner la langue de l'élite avec un parler régional, et dont l'auteur est une étrangère, une Hollandaise de haut lignage mariée à un Suisse, douée d'un caractère indépendant et d'une verve caustique. On fut révolté de voir dépeindre sous la plume du héros, un Allemand, la minuscule société mondaine de la ville, avec sa médiocrité intellectuelle et ses petites mesquineries. Le choix antiromanesque des personnages, pris dans les classes inférieures et dans le monde du travail, fit aussitôt condamner cette littérature comme décadente. C'est qu'Isabelle de Charrière opérait une petite révolution littéraire, qui prend aujourd'hui toute sa signification. A la différence de ses illustres contemporains, Prévost, Rousseau, Laclos ou Restif, elle concevait le roman comme une chronique spirituelle de la vie quotidienne, qui se moque des conventions littéraires et tire d'un matériau ordinaire toute la beauté et la signification de l'œuvre d'art.
Lu par:Marie Meylan
Durée:2h. 37min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:67107
Résumé: Traversée par l’autoroute depuis près de soixante ans, la ville de Morges l’a été plus longtemps encore par les éclats de voix et les éclats de rire d’Alfred Friderici. Directeur avec son frère Paul de la plus grande structure de transport routier en Suisse, le Grand Fred, qui se présentait toujours comme chauffeur, se dépensa sans compter pour les siens, pour ses amis, son métier et son entreprise. Seule celle-ci, qui lui échappa finalement, ne lui rendit pas ce qu’elle avait reçu de lui. Son fils Pierre, avec la complicité du journaliste Jean Steinauer, raconte la vie ordinaire d’un homme qui ne l’était pas, et soulève le capot des poids lourds. Voici des aventures picaresques, des personnages hauts en couleurs, des secrets de famille et des luttes de pouvoir. Chabrol aurait adoré.
Durée:8h. 32min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:74394
Résumé: Rien ne prédisposait Noor Inayat Khan (1914-1944), délicate fille d’un soufi poète et musicien, et d’ascendance princière, à devenir opératrice radio clandestine à Paris, en 1943, pour le service secret britannique mis sur pied par Churchill afin de combattre les nazis en pays occupé. Accepter une telle tâche signifiait, presque toujours, courir à la mort. Pourquoi Noor l’a-t-elle acceptée, comment s’en est-elle acquittée ? Beaucoup redoutaient qu’elle ne soit trop fragile, trop peu fiable. Elle n’a pas confirmé ces craintes, pas même quand le démantèlement de son réseau la priva de ses camarades et décupla ses responsabilités. Elle fut cependant capturée, à la suite d’une trahison. Prisonnière, elle fit preuve d’un grand courage, notamment lors de deux audacieuses tentatives d’évasion. Ce récit serre au plus près la réalité historique, se fondant même parfois sur des documents que les biographes de Noor Inayat Kahn ont ignorés.
Lu par:Jean Frisch
Durée:20h. 41min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:6093
Résumé: Janvier 1789. Un jeune Américain arrive des Etats-Unis. Il est chargé d'une mission secrète : observer les graves évènements qui secouent le royaume de France.
Durée:7h. 51min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:20170
Résumé: Sur fond de guerre mondiale et de révolution russe, ce roman s'inscrit dans un moment très précis de l'Histoire et de l'histoire de l'art, auxquelles il se veut fidèle. Ce n'en est pas moins une fiction, qui prend la forme du journal de John William Godward, peintre anglais néo-classique qui ne jure que par la beauté grecque. Apprenant la présence de Picasso à Rome, il l'épie, rêve d'arrêter sa main sacrilège, et qui sait, de le convertir à ce qu'il considère comme la beauté éternelle. Horrifié par une modernité qu'il ressent comme inhumaine et destructrice, Godward aurait dit : « Dans ce monde, il n'y a pas place à la fois pour Picasso et pour moi ». L'idée d'une rencontre le fascine et l'effraie. Histoire d'un duel.
Durée:13h. 25min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:15728
Résumé: À ma naissance, mes quatre grand-parents étaient morts depuis pas mal de temps, et de leur génération je n'ai connu que la demi-soeur de mon grand-père, qui était de vingt ans son aînée. Elle m'a appris à danser la valse, confié la recette (qualifiée par elle d'originale) du tirami su, du pesto et d'une ou deux autres spécialités italiennes. Elle parlait anglais parce que, m'avait expliqué un parent, sa mère était anglaise; elle était née d'un premier mariage de son père (mon arrière-grand-père). Je n'ai aucun moyen aujourd'hui de vérifier ces affirmations, mais je les ai toujours tenues pour exactes; finalement, cela n'a pas d'importance. C'est en tout cas elle qui m'a donné une image telle de l'Angleterre que mon rêve d'enfant était de m'y rendre le plus vite possible. Mon père m'avait raconté que pendant la Première guerre mondiale elle avait travaillé dans un hôpital du front, et il avait précisé, l'admiration dans la voix, qu'elle avait soigné les blessés avec la vigueur d''une jeune femme alors qu'elle avait déjà soixante ans bien sonnés. Quelqu'un dans la famille (je ne sais plus qui) m'a aussi dit qu'elle avait perdu dans cette guerre tous ses enfants. J'ignore dans quelles circonstances. J'étais trop jeune pour qu'elle songe à me raconter sa vie... et que je songe de m'y intéresser.