Contenu

Même les légumes ont un sexe: petite(s) histoire(s) entremêlée(s) de la nourriture et du sexe

Résumé
Des aphrodisiaques au foodporn, découvrez les liens étroits entre gastronomie et érotisme à travers un ouvrage ludique et grand public. Saviez-vous que les huîtres ont pendant longtemps été associées au plaisir sexuel ? Que le chocolat était vu par les amants de la comtesse Du Barry comme un stimulant ? Que les premiers restaurants de Paris ont ouvert au xixe siècle dans le quartier " chaud " de la capitale ? Potion de l'Antiquité ou crème Babette, cloître ou maison close, de La Grande Bouffe aux jus détox likés sur les réseaux sociaux, en quoi notre alimentation est-elle révélatrice de la sexualité d'une époque ? Mêlant anecdotes historiques, éclairages scientifiques et culture populaire, des aphrodisiaques jusqu'au foodporn et #balancetonporc, l'auteure dresse la grande fresque de l'idylle entre gastronomie et érotisme.
Durée: 4h. 37min.
Édition: Paris, Solar, 2018
Numéro du livre: 66283
ISBN: 9782263155222
CDU: 301

Documents similaires

Durée:4h. 39min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:38191
Résumé: Une jeune adolescente, née obèse, mange, grossit et s’isole. Sa mère s’enfuit, horrifiée par son enfant. Ses camarades de classe la photographient sans répit pour nourrir le grand Œil d’internet. Son père, convaincu qu’elle aurait dévoré in utero sa jumelle, cuisine des heures durant pour nourrir « ses princesses ». Seule, effrayée par ce corps monstrueux, elle tente de comprendre qui elle est vraiment. Quand elle rencontre par accident l’amour et fait l’expérience d’autres plaisirs de la chair, elle semble enfin être en mesure de s’accepter. Mais le calvaire a-t-il une fin pour les êtres « différents » ? Conte de la dévoration et roman de l’excès, Manger l'autre est une allégorie de notre société avide de consommer, obsédée par le culte de la minceur et de l’image conforme. Avec force, virtuosité, et humour, Ananda Devi brise le tabou du corps et expose au grand jour les affres d’un personnage qui reflète en miroir notre monde violemment intrusif et absurdement consumériste.
Durée:8h. 11min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:20175
Résumé: Dans son nouveau livre, Tout à fait homme, Barbara Polla nous parle des hommes d'ici et d'aujourd'hui. Elle les a écoutés sans préjugés, avec une immense curiosité, expliquer ce qui, à leurs yeux, fait l'essentiel. Le désir est cet essentiel. Un désir libre, vigoureux, mais qu'ils entourent de silence, sans doute pour ne « déranger » ni l'ordre du monde, ni les femmes, ni eux-mêmes. Pourquoi n'en parlent-ils pas ? Parce que les femmes ne comprendraient pas, disent-ils. Oui, mais s'ils osaient ? S'ils osaient prendre la parole, pour gagner en liberté ?
Lu par:Pierre Biner
Durée:3h. 49min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:68043
Résumé: Mai 1968 a affranchi la sexualité de ses tabous et de ses archaïsmes. Pour le meilleur, mais aussi pour le pire, car avec cette "révolution" , les plus jeunes ont été entraînés dans une sexualité prématurée, reconnue aujourd'hui comme violente. Historienne, féministe engagée, Malka Marcovich a été témoin de ce qu'a représenté Mai 1968 pour toute une génération. Forte de cet héritage de liberté, mais aussi consciente des dérives, elle est allée à la rencontre de femmes et d'hommes qui ont souffert d'un climat d'abus sexuel, insidieux ou manifeste. Ce livre donne enfin la parole à ceux qui se sont trop longtemps tus et aborde de manière inédite un tournant fondamental dans l'histoire de nos sociétés.
Durée:3h. 36min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:72302
Résumé: Respectivement sociologue et cuisinier, les auteurs expliquent que les acteurs de la restauration collective, tels que les grands industriels de l'agro-alimentaire, n'ont aucun intérêt à ce que la qualité des cantines évolue. Ils montrent qu'il est possible de servir des produits locaux, de saison, voire biologiques, sans hausse du prix du repas.
Lu par:Jean Ballaman
Durée:6h. 30min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:39298
Résumé: Oubliez les clichés sur Pedro Juan Gutierrez, genre le «Bukowski cubain». Après avoir dévoré ce livre halluciné, vous n’aurez plus envie de comparer l’écriture de l’homme de La Havane, où il réside, à nulle autre. C’est de cela dont il s’agit: la naissance d’un écrivain, un roman-récit initiatique violent, drôle et magnifique, mêlant matière autobiographique et onirisme baroque. Dans Le nid du serpent, Pedro Juan vit les années 1960 dans un Cuba révolutionné: une décadence en route, une place à trouver, voilà la vraie vie. Il fait comme il peut, se consacre à ses seules passions: baiser, boire, tenir. A longueur de journées, de nuits, trouver son chemin toujours entre les jambes des femmes, la folie alentours, les rencontres improbables entre putes et poètes. Et puis trouver des mots, des livres-espérance dans une vieille bibliothèque pas encore brûlée, entre lesbiennes, alcool, drogués et moiteur des étreintes. Sa lumière au bout, sa vérité conquise syllabe par syllabe, défonce par défonce. Extraordinaire et incroyablement libre, l’œuvre de Gutierrez, 57 ans, demeure forcément interdite à Cuba. Isabelle Falconnier
Lu par:Marie Lourizi
Durée:5h. 6min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:15478
Résumé: « La planète se réchauffe, les glaciers fondent, la météo déprime, les canons à neige et les charters prennent alternativement le relais. En fait de saisons, nous ne pouvons plus compter que sur l'heure d'été et l'heure d'hiver, suppléer les cycles naturels par le décalage horaire, décaler le temps, l'espace, le réel, simuler la vie. Nous déréglons notre montre comme si nous n'avions pas raté l'ultime rendez-vous que nous concédaient l'Histoire et l'écologie. L'hiver est donc ici envisagé en tant que métaphore de la congélation culturelle coïncidant avec le réchauffement climatique corrélation très «naturelle» au demeurant : il eût été surprenant que la mondialisation, la pensée unique, l'entropie mentale, l'homogénéisation intellectuelle, restassent sans effet sur notre milieu vital.
Durée:18h. 44min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:32073
Résumé: Fruit du travail d'une équipe de sexologues américains, ce dictionnaire recense, commente et explique tout ce qui peut exister en matière de perversions et pratiques amoureuses. Dans un langage clair et précis, il décrit les pratiques, leur histoire, les risques qu'elles peuvent faire courir à leurs adeptes.
Lu par:Eline Roess
Durée:3h. 24min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:14271
Résumé: L'auteur relate ses mémoires en ce qui concerne le goût, alliant les sensations provoquées par la nourriture aux différentes périodes de sa vie. Le lait maternel, le pain, l'art du goûter, celui de l'apéritif sont explorés dans un va-et-vient entre expérience sensible et mise en mots. Marie Rouanet fait revivre le temps de l'enfance, les figures parentales, les expériences d'adulte, montrant que les affections reçues s'ancrent dans le souvenir de nourritures partagées.
Durée:11h. 48min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:72743
Résumé: Après Les couilles sur la table, cet ouvrage adapté du podcast du même nom constitue une exploration documentaire de la future révolution romantique. Montrant notamment comment les mythes romantiques justifient la violence amoureuse, l'auteure mène une réflexion sur la façon de mettre en place individuellement et collectivement des relations profondes et égalitaires.
Durée:5h. 30min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:36947
Résumé: Camille, Luc, Hélène ou Henri n’y arrivent plus. Le policier allergique aux caresses, la scénariste qui ne prend pas de plaisir, la prof de piano vierge à 27 ans ou le PDG qui n’a plus d’érection se rendent chez la sexologue Romy Steiner pour (ré)apprendre à expérimenter, à jouer et à désirer. Elsa Fayner choisit de raconter ces parcours et suit huit patients pendant toute une année. Sans juger ni médicaliser leurs maux, Romy Steiner leur donne les mots et les gestes dont ils ont besoin pour se réconcilier avec leurs corps. A travers ces huit histoires, ce sont les mystères de notre sexualité, blocages, fantasmes, pulsions violentes ou frissons d’infidélité, qui s’incarnent. Une année riche en enseignements pour la journaliste et la sexologue qui, de confidences en congrès de médecine, affrontent elles aussi cette question : comment définir sa propre liberté sexuelle dans une société où l’abondance de choix complexifie, pour le pire, mais aussi le meilleur, l’apprivoisement du désir.
Durée:9h. 13min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:36024
Résumé: "La nation rassemblée et l'état d'urgence décrété, nous vivons un moment souverainiste. Mais à quel prix, et sous quelles conditions, pouvons-nous vivre ensemble ? Cette question fait clivage. Le souverainisme est ce nouveau spectre qui hante le monde. Rien de plus normal pourtant, car la question de la souveraineté est fondatrice de la démocratie. Elle fonde la communauté politique, ce que l'on appelle le peuple, et définit un ordre politique. Partout en Europe et dans le monde s'exprime la volonté populaire de retrouver sa souveraineté. Que ce soit face aux incohérences de l'Union européenne sur la crise des réfugiés, ou face aux questions suscitées par le déni de la souveraineté grecque des institutions de la zone Euro, la souveraineté est la question d'aujourd'hui. Si elle a pris une place centrale dans le débat, c'est bien parce qu'elle touche à quelque chose d'essentiel : la liberté. Celle de faire et de décider, en son propre nom comme de manière collective. Mais qui dit souveraineté dit aussi peuple et laïcité. Aujourd'hui plus que jamais, il est impératif de rejeter les définitions du peuple fondées sur l'ethnie ou la religion, et d'affirmer la nature historique et politique de cette notion. Faire disparaître du champ politique le principe de souveraineté ne peut se justifier que par une volonté de faire disparaître aussi le principe de démocratie. Il ne faut alors pas s'étonner de ce que la société glisse vers l'anomie et la guerre de "tous contre tous"." J.S. Un essai de sciences politiques pour nous aider à penser la société et reconstruire le lien républicain.
Lu par:Pierre Biner
Durée:8h. 50min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:75118
Résumé: Depuis peu, les militants de la cause woke défrayent la chronique en raison des actions qu’ils mènent dans les universités pour y interdire toute forme de pensée considérée comme attentatoire aux principes qu’ils défendent. Dans les débats en cours, un point essentiel est passé inaperçu. Avocats et adversaires du wokisme partagent un même mot d’ordre. Il faut, affirment-ils tous, « reconstruire » après avoir « déconstruit ». Le projet est le même auquel étrangement souscrivent deux camps que, pourtant, tout distingue. En ce sens, le wokisme et l’antiwokisme se caractérisent pareillement par leur opposition à l’idée de déconstruction. Encore faudrait-il savoir ce que le mot signifie et se donner ainsi une chance de comprendre l’étrange « reconstructionnisme » qui prévaut aujourd’hui et dont la logique conduit fatalement à l’affrontement de deux identitarismes adverses. Car il importe moins, contre l’opinion unanime, de reconstruire enfin ce qui avait été hier déconstruit que de déconstruire encore ce qui prétend se reconstruire aujourd’hui. Selon une leçon que la littérature nous prodigue aussi, essentiellement réfractaire au diktat et aux simplifications d’un certain discours militant.