Contenu

Recherche par auteur : Gerbeaux, Thomas

2 résultats.

Durée:1h. 40min.
Genre littéraire:Roman animalier
Numéro du livre:71697
Résumé: C'est l'été, Jeanne dîne au restaurant du port avec son père et sa grand-mère. Alors qu'elle s'ennuie, la petite fille décide d'aller jouer à la marelle. Au même moment, un homard scrute les serveurs et prend conscience de sa mort imminente. Bien décidé à échapper à son destin, il croise la route de Jeanne après s'être échappé d'une casserole d'eau bouillante.
Lu par:Nadine Maugie
Durée:1h. 12min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:39591
Résumé: Sur la petite Île aux Moutons la rentrée scolaire se prépare. L’école de l’île est minuscule et ne compte qu’une seule classe regroupant tous les niveaux. Petits et grands apprennent ensemble. La plupart des familles ont en effet quitté l’île pour trouver du travail sur le continent. Il ne reste plus que quelques familles de pêcheurs et d’éleveurs… de moutons bien sûr ! Mais cette année c’est la catastrophe : le ministère de l’Education nationale a en effet décidé de faire des économies et de fermer toutes les classes comptant moins de 30 élèves. Or le jour de la rentrée, Mademoiselle Badaouet, institutrice sur l’Île aux Moutons, ne dénombre que 29 élèves dans sa classe. L’inspectrice d’académie, inflexible, suggère alors aux habitants d’envoyer leurs enfants au pensionnat sur le continent… Le maire, qui est également le vétérinaire de l’île, élève seul sa fille, Jeanne, depuis la disparition de son épouse. Pour lui, il est hors de question de se séparer de son enfant. Jeanne, petite fille gaie et débrouillarde, est très attachée à Vincent, un mouton affectueux et très intelligent. Le maire décide alors d’inscrire Vincent à l’école et ainsi de rentrer dans les chiffres du ministère. Mais le ministre, en visite sur l’île, se laissera-t-il berner aussi facilement ? Une jolie histoire, tendre et drôle, qui fait écho à ce problème récurrent des fermetures de classes que connaissent les communes françaises à chaque rentrée de septembre. Une histoire qui fait aussi réfléchir sur l’absurdité de l’administration qui ne tient pas toujours compte des cas particuliers et prend parfois les citoyens pour des mou