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Recherche par auteur : Forrester, Viviane

2 résultats.

Durée:13h. 42min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:30110
Résumé: Au centre du parcours de Viviane Forrester dans la vie et dans l'oeuvre du peintre génial, "suicidé de la société" selon la formule d'Antonin Artaud, il y a un fait biographique précis et lourd de conséquences: Vincent Van Gogh est né le 30 mars 1853, soit un an jour pour jour après son frère portant le même prénom, mort-né le 30 mars 1852. D'où, chez lui, le sentiment tenace et obsessionnel d'usurper la vie d'un autre, cet aîné qui le hante comme un fantôme. Quand il part à l'aventure et abandonne le domicile paternel, il a ces mots : "L'assassin a quitté la maison". Génie méconnu, entretenant une relation passionnelle avec son autre frère Théo, amant éperdu d'une vie qu'il ne sait pas vivre, massacré, écorché, déserté par tous, Vincent Van Gogh crée une oeuvre énorme. Il meurt le 29 juillet 1890 à Auvers-sur-Oise, à l'âge de trente-huit ans. "Je le vois encore sur son lit étroit dans la petite mansarde, torturé par une douleur terrible. "N'y a-t-il personne pour m'ouvrir le ventre ?" Il faisait une chaleur étouffante dans la chambre, sous le toit". Et il n'y avait personne... Au matin, avant l'arrivée de "Théo, une dernière visite : celle de deux gendarmes. Plantés au pied du lit, courroucés, ils interrogent l'agonisant: pourquoi s'est-il suicidé ? D'où tenait-il son arme ? Vincent fume sa pipe, adossé contre les oreillers. Il répond, la voix calme, avoir agi comme il en était libre; les autres insistent, s'acharnent. Vincent regarde en silence, droit devant lui, ignorant les représentants de cette autorité à laquelle il échappe enfin.
Durée:10h. 14min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:17880
Résumé: Dans un récit bouleversant, Viviane Forrester nous présente une Virginia Woolf chatoyante, désopilante et meurtrie, différente certainement de la légende bâtie par son mari Leonard... Une femme qui eut à subir son génie, à s'efforcer de le faire accepter par les siens. Une femme qui aura pu dire : « Je sens dans mes doigts le poids de chaque mot », avant de répondre à « l'étreinte » promise par la mort en allant se noyer, les poches pleines de pierres, dans la rivière Ouse. Un suicide dont on découvrira des causes, jusqu'ici enfouies.