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Recherche par auteur : Defoe, Daniel

3 résultats.

Durée:3h. 12min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:35498
Résumé: Dans cet extrait de la fameuse Histoire générale des plus fameux pyrates (Londres, 1724-1728), l’auteur du célébrissime Robinson Crusoé (1719) relate les aventures du capitaine Misson, « l’homme le plus doux dans ses manières qui eût jamais sabordé un navire ou tranché une gorge » et de son complice, l’hérétique Carraccioli, qui las de courir les mers, décident de s’installer à Madagascar pour y fonder une république égalitaire, tout en continuant à piller les navires passant à leur portée. La propriété est abolie, les ressources mises en commun ; les distinctions de classe, de sexe et de race disparaissent. Le rêve sera cependant de courte durée. Pour rédiger sa somme sur la piraterie de l’âge d’or, Daniel Defoe – alias « Capitaine Johnson » – recueille la parole populaire dans les tavernes londoniennes. Dans une postface argumentée, les éditeurs reviennent sur l’utopie « Libertalia », mythe littéraire qui doit autant à la fiction et à l’imaginaire de son auteur qu’à des expériences réelles [résumé de l'éditeur].
Durée:13h. 31min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:12564
Résumé: Robinson vit dans la ville d'York en Angleterre. Il veut voyager dans le monde.Il part en bateau, et fait naufrage à cause d'une tempête. Il arrive sur une île déserte. Il trouve sur l'île un jeune homme qui allait se faire manger par des cannibales; il le surnomme Vendredi. L'histoire est tirée d'un fait réel. Un marin s'était fait abandonné sur une île déserte par le capitaine de son bateau pour avoir désobéi.
Durée:11h. 45min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:21268
Résumé: 30 septembre 1659 Moi, pauvre misérable Robinson Crusoé, après avoir fait naufrage au large durant une horrible tempête, tout l'équipage étant noyé, moi-même étant à demi mort, j'aborde à cette île infortunée, que je nommai l'Ile du désespoir. Je passai tout le reste du jour à m'affliger de l'état affreux où j'étais réduit : sans nourriture, sans demeure, sans vêtements, sans armes, sans lieu de refuge, sans aucune espèce de secours, je ne voyais rien devant moi que la mort, soit que je dusse être dévoré par les bêtes ou tué par les sauvages, ou que je dusse périr de faim. A la brune, je montai sur un arbre, de peur des animaux féroces, et je dormis profondément, quoiqu'il plût toue la nuit.