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Recherche par auteur : De Bernières, Louis

2 résultats.

Durée:24h. 9min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:16223
Résumé: Après La mandoline du capitaine Corelli, traduit en plus de 40 langues et adapté au cinéma, Louis de Bernières a pris son temps pour nous donner un nouveau chef-d'oeuvre. Le voici qui nous raconte, lui aussi, une histoire d'amour confrontée à l'horreur de la guerre. Cette fois, on remonte un peu plus le temps ; ce n'est plus de la 2e guerre mondiale qu'il s'agit, mais de la première, avec les drames qui l'ont précédée, puis suivie, dans l'ancien empire ottoman et la Grèce. Nous sommes à Eskibatche, un paisible village d'Anatolie, où Grecs et Turcs, orthodoxes et musulmans, vivent en paix depuis des siècles. La ravissante Philotei y est née en 1900 - personne n'avait jamais vu une aussi jolie petite fille - et elle y grandit adorée par Ibrahim, le petit berger. De toute évidence, ces deux-là se marieront un jour, peu importe la différence de religion, la pauvreté au quotidien. On sait à quel point L. de Bernières excelle dans l'art de faire vivre les personnages d'enfants...
Durée:21h. 23min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:10268
Résumé: « L'île à moitié oubliée de Céphalonie s'élève imprudemment de la mer Ionienne. Elle est tellement chargée d'antiquité que les pierres elles-mêmes exhalent la nostalgie et que la terre rouge reste hébétée non seulement par le soleil mais aussi par le poids insupportable de la mémoire. » Sur cette île en apparence bénie des dieux, des ouragans vont pourtant se déchaîner dès 1939; à l'occupation italienne va succéder l'invasion allemande et son cortège d'exactions. Puis, à partir de 1945, les maquis rouges feront régner leur terrible loi. Et quand enfin la paix semble revenue, le meurtrier tremblement de terre de 1953 dévaste Céphalonie à son tour. Que deviennent les destins individuels au coeur de tant de drames? Un amour aussi fragile que celui de Pélagia, la jolie petite Grecque, et du séduisant capitaine Corelli peut-il leur résister? Car comment résiste-t-on à la haine, la peur, la faim, la folie, la mort? Est-il possible de continuer à vivre quand il ne reste plus que le souvenir, la tendresse, la musique - ah, la musique d'une certaine mandoline... à leur opposer?