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Recherche par auteur : Cheng, François

11 résultats.

Durée:2h. 42min.
Genre littéraire:Poésie
Numéro du livre:34738
Résumé: Traducteur exemplaire, essayiste d'une grande délicatesse, particulièrement voué à l'espace de la calligraphie et de la peinture chinoises, romancier intuitif et profond, François Cheng a également développé une oeuvre de poète qui le révèle tel qu'en lui-même : discret, pudique, attentif aux mouvements des choses, des êtres et du temps.
Lu par:Zeina Kayali
Durée:25min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:67509
Résumé: Qui aurait cru voir un jour la cathédrale Notre-Dame de Paris en proie aux flammes, un soir de printemps 2019 ? Qui aurait pu imaginer un tel désastre, au coeur même de la capitale ? Comme tant d'autres, François Cheng a été bouleversé par l'événement. Mais au-delà des larmes et de l'émotion partagée, le poète a su traduire de manière saisissante le témoignage spirituel que nous livre la cathédrale.
Durée:4h. 27min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:14231
Résumé: « En ces temps de misères omniprésentes, de violences aveugles, de catastrophes naturelles ou écologiques, parler de la beauté pourrait paraître incongru, inconvenant, voire provocateur. Presque un scandale. Mais en raison de cela même, on voit qu'à l'opposé du mal, la beauté se situe bien à l'autre bout d'une réalité à laquelle nous avons à faire face. Je suis persuadé que nous avons pour tâche urgente, et permanente, de dévisager ces deux mystères qui constituent les extrémités de l'univers vivant : d'un côté, le mal ; de l'autre, la beauté. Ce qui est en jeu n'est rien de moins que la vérité de la destinée humaine, une destinée qui implique les données fondamentales de notre liberté. » François Cheng
Durée:3h. 12min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:19843
Résumé: Comme ses Cinq méditations sur la beauté, ce texte de François Cheng est né d'échanges avec ses amis, auxquels le lecteur est invité à devenir partie prenante. Il entendra ainsi le poète, au soir de sa vie, s'exprimer sur un sujet que beaucoup préfèrent éviter. Le voici se livrant comme il ne l'avait peut-être jamais fait, et transmettant une parole à la fois humble et hardie. Il n'a pas la prétention de délivrer un « message » sur l'après-vie, ni d'élaborer un discours dogmatique, mais il témoigne d'une vision de la « vie ouverte ». Une vision en mouvement ascendant qui renverse notre perception de l'existence humaine, et nous invite à envisager la vie à la lumière de notre propre mort. Celle-ci, transformant chaque vie en destin singulier, la fait participer à une grande Aventure en devenir.
Durée:3h. 54min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:33960
Résumé: Lorsque j'ai reçu votre première lettre, chère amie, je vous ai répondu immédiatement. Avoir de vos nouvelles plus de trente ans après m'a procuré une telle émotion que ma réaction ne pouvait être qu'un cri instantané. Votre deuxième lettre, que j'ai sous les yeux, je l'ai gardée longtemps avec moi, c'est seulement aujourd'hui que je tente de vous donner une réponse. La raison de ce retard, vous l'avez sans doute devinée, puisque votre missive contient une singulière requête : " Parlez-moi de l'âme "... Votre phrase : "Sur le tard, je me découvre une âme ", je crois l'avoir dite à maintes reprises moi-même. Mais je l'avais aussitôt étouffée en moi, de peur de paraître ridicule. Tout au plus, dans quelques-uns de mes textes et poèmes, j'avais osé user de ce vocable désuet, ce qui sûrement vous a autorisée à m'interpeller. Sous votre injonction, je comprends que le temps m'est venu de relever le défi... "
Durée:7h. 53min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:11849
Résumé: Ils n'ont échangé qu'un regard, un sourire peut-être et depuis trente ans bien que la vie les ait séparés, ils ne cessent de penser l'un à l'autre. Dao-sheng était un jeune musicien, Lan-ying, "Fine Orchidée" était fiancée à un seigneur local qui s'arrangea pour faire envoyer le jeune homme au bagne. Au bout de tant d'années, ils tentent de se rejoindre comme deux constellations éloignées que la course du ciel remet en présence. Lan-ying s'étiole, épouse délaissée minée par les chagrins et les épreuves, Dao-sheng a quitté le monastère taoiste où il a appris la médecine et la divination...
Durée:3h. 24min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:16027
Résumé: Présentation de l'éditeur : Toute sa vie, François Cheng a été habité par l'errance orientale de Victor Segalen, étrangement semblable à son propre périple occidental. C'est même par le cycle chinois de l'oeuvre de Segalen, lui aussi poète, romancier et critique d'art, que Cheng a d'abord visité de façon imaginaire une Chine qu'il avait quittée jeune. François Cheng dit ici l'intime proximité spirituelle qui le relie à Victor Segalen. Comme lui, la surface ne l'intéresse pas : il est allé voir " ailleurs " pour mieux voir au-dedans. Non pour se fuir mais pour se chercher. Les deux poètes " exotes ", selon l'expression de Victor Segalen, nous invitent à une trajectoire croisée qui voit la meilleure part des deux traditions s'amalgamer en un trésor unique, donnant naissance à une parole qui ouvre sur l'universel.
Lu par:Manon
Durée:1h. 25min.
Genre littéraire:Poésie
Numéro du livre:31666
Résumé: Lu par Manon Des poèmes mêlant la sagesse orientale à la nostalgie, l'âpreté à la joie, le silence à la lucidité, la mort aux nuages, les oiseaux aux larmes, l'émoi aux étoiles, etc. ©Electre 2016
Durée:1h. 57min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:21355
Résumé: " Le destin a voulu qu'à partir d'un certain moment de ma vie, je sois devenu porteur de deux langues, chinoise et française. Était-ce tout à fait dû au destin ? A moins qu'il y entrât tout de même une part de volonté délibérée ? Toujours est-il que j'ai tenté de relever le défi en assumant, à ma manière, les deux langues, jusqu'à en tirer les extrêmes conséquences. Deux langues complexes, que communément on qualifie de "grandes", chargées qu'elles sont d'histoire et de culture. Et surtout, deux langues de nature si différente qu'elles creusent entre elles le plus grand écart qu'on puisse imaginer. [...] Rien d'étonnant à ce que depuis lors, au cœur de mon aventure linguistique orientée vers l'amour pour une langue adoptée, trône un thème majeur : le dialogue... "
Durée:11h. 27min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14513
Résumé: François Cheng est un spécialiste incontesté de la poésie et surtout de la peinture chinoise à laquelle il a consacré depuis une trentaine d'années des essais qui font autorité. Son premier roman, Le Dit de Tianyi est nourri de cette connaissance intime de la culture chinoise, confrontée au regard d'un occidental. Il évoque la vie de Tianyi, un peintre qui a connu les bouleversements de la société chinoise dans les années trente et quarante avant de venir à Paris où il mène une existence précaire mais découvre une conception radicalement différente non seulement de l'art mais de la vie. Il repart en Chine alors en proie à la révolution pour tenter d'y retrouver les deux êtres à qui il tient le plus, Haolang son ami, et Yumei qui fut son amante. Mais l'époque n'est guère favorable aux retrouvailles et Tianyi se retrouve entraîné dans des drames qu'il ne peut maîtriser. Au-delà d'une aventure romanesque captivante et tragique, le roman offre une excellente approche de la civilisation chinoise par un de ses meilleurs spécialistes. Il a obtenu le prix Femina en 1998. --Gérard Meudal
Durée:5h. 32min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:73521
Résumé: Depuis son premier essai sur l'eau et la soif - unique témoin de son adolescence chinoise qu'il a emporté en France et dont il nous livre aujourd'hui la traduction - en passant par ses rencontres avec Gide, Vercors, Lacan, Michaux, Emmanuel, Bonnefoy et tant d'autres, François Cheng nous fait partager la longue route qui l'a conduit à devenir, lui l'exilé qui ne savait dire ni " bonjour " ni " merci " lorsqu'il est arrivé à Paris, un poète français. Cette route, malgré les affres de la guerre en Chine, l'extrême précarité matérielle des premières décennies en France, et de cruels tourments intérieurs, mais est toujours éclairée par la poésie française qu'il intériorise au fond de sa nuit solitaire. Elle l'est aussi par un amour passionné pour la langue d'un pays dont François Cheng a fini par épouser le " chant " et le destin. La lumière singulière qui émane de ce récit est celle d'une symbiose qui unit la Voie du Tao et la voie orphique et christique, orientant sans cesse le poète vers l'authentique universel.