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Je ne suis pas un assassin

Résumé
Quatrième de couverture : " Bravant les lois et les moeurs, une mère apporta à son fils souffrant et incurable la mort qu'il désirait ardemment. Tragédie moderne à l'extrême, l'événement bouleversa la France, marqua le temps, imposa une réflexion et fit évoluer notre législation. Raconté au plus juste, voici le récit du médecin qui, surmontant ses doutes, accomplit, après Marie Humbert, le geste ultime et libérateur.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Mots-clés: Euthanasie
Durée: 3h. 31min.
Édition: Paris, Oh ! Editions, 2004
Numéro du livre: 13567
ISBN: 9782915056273
CDU: 179

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Durée:3h. 36min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:13371
Résumé: « Pourquoi les médecins se sont-ils acharnés sur moi pour me maintenir en vie ? De quel droit ? [..] Dans mon cas, me faire vivre, forcer le destin pour me sauver à tout prix et faire de moi ce que je suis désormais était une connerie. » En décembre 2002, Vincent Humbert, jeune tétraplégique, aveugle et muet, sollicite du président de là République le droit de mourir, qui lui est refusé. Cloué sur son lit d'hôpital, conscient de l'immense chagrin qu'il cause à ses proches et particulièrément à sa mère, Marie, qui veille sur lui sans relâche, Vincent n'attend qu'une chose : la délivrance qui mettra un terme à son supplice. Son cri à la mort et ses confidences déchirantes ont relancé le débat sur l'euthanasie. La justice peut-elle refuser une mort digne à ceux que la vie a abandonnés?
Durée:6h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:30873
Résumé: "Maintenant que j'accompagne leur dernière nuit, je me sens travaillé de remords pour mes reproches, mes irritations, nies duretés. Si j'avais su, je me serais efforcé d'adoucir simplement leur fin de vie, je me serais appliqué à en faire ce qu'aurait dû en faire l'imagination d'une affection bien sentie. Si j'avais su... Mais justement, je savais ! Là se concentre la cruauté infligée à celui qui, contre nature, connaît le jour et l'heure". La veille de l'euthanasie programmée par sa mère et son père, un homme s'installe dans sa chambre d'enfant. Durant la nuit, il écrit pour tenter de comprendre les raisons de ce geste : délivrance pour ceux qui vont partir, ruais violence inouïe pour ceux qui demeurent. Que dire à ses parents, comment leur exprimer une affection alors que le temps est compté, que la douloureuse histoire familiale refait surface ? Faut-il revenir sur les rapports difficiles des uns et des autres, sur le manque de communication ? Dans ce roman sincère et juste, Pierre Béguin raconte une situation limite. Le fil des événements va profondément changer le regard qu'il a porté jusque-là sur sa famille, et sur un passé qui n'a pas dit son dernier mot...
Lu par:Sejourné
Durée:8h. 8min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:22623
Résumé: "(...) Nous ne voulons pas que d'autres décident à notre place du moment et de la manière dont nous allons mourir. Quoi de plus légitime dans un monde ou l'on meurt le plus souvent à l'hôpital, dans l'anonymat et la froideur technique, entouré d'un personnel auquel on fait peur et que l'on embarrasse ? (...) Parce que nous désirons rester "sujet" de notre mort, nous voulons qu'elle se passe dans de bonnes conditions. (...) Alors pourquoi ne pas regarder ses peurs en face ? (...) Sortir du déni et du silence sur la mort ? Se donner les moyens de soulager efficacement les douleurs des maladies terminales, réinventer un rituel de fin de vie ?"
Durée:3h. 28min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19073
Résumé: Le narrateur a été l'un des premiers médecins, dans un pays européen non précisé, à assister les personnes qui demandaient à mourir - clandestinement d'abord, puis plus ouvertement, à mesure qu'une certaine tolérance s'installait et que les lois s'adaptaient à la situation. Après avoir maîtrisé les techniques qui permettent aux hommes et aux femmes de quitter la vie sans souffrance et sans angoisse, il a découvert, au gré de son histoire personnelle, que cette assistance technique ne suffisait pas. Que l'accompagnement d'une personne qui a décidé de mettre fin à ses jours passe par une démarche personnelle plus profonde. Et que cet accompagnement, d'autres que les médecins peuvent l'assurer. Au moment où lui-même se retrouve en fin d'évolution d'une maladie mortelle, le narrateur raconte son histoire - et livre pour la première fois son secret - à un interlocuteur invisible et silencieux, choisi pour des raisons qui seront révélées à la toute fin du récit.
Durée:4h. 26min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:30017
Résumé: Frères jumeaux, Damien et Nicolas Delmer luttent depuis l'enfance contre la mucoviscidose, maladie génétique incurable et dégénérative. On leur avait dit qu'ils ne vivraient pas plus de dix-sept ans : ils en ont aujourd'hui trente-cinq. Malgré la souffrance et la fragilité de leurs corps amaigris, ces deux amoureux de la vie se battent pour continuer à profiter de l'existence : peindre, écrire, se baigner, et même sauter en parachute. Mais quand le quotidien devient insoutenable, la perspective de mourir dans des conditions indignes les révolte. Faute de greffes, ils risquent de partir étouffés, asphyxiés. Pour vivre pleinement, Damien et Nicolas demandent juste à ce que la loi leur permette de mourir en paix. S'ils n'obtiennent pas ce droit et que l'un des deux se retrouve dans une situation extrême, ils n'hésiteront pas à s'aider. Un pacte entre frères, unis jusqu'au dernier souffle.
Durée:3h. 12min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:67153
Résumé: Ne vous inquiétez pas, poursuivit la jeune femme. Je vous dirai tout. D'ailleurs, je cherche des alliés. Des alliés pour le crime? osa Stavrakas...
Lu par:Jean Frey
Durée:13h. 22min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:39501
Résumé: Trois débats nous obsèdent : autour du genre, des droits de l’animal, de l’euthanasie. Et trois disciplines politiquement correctes traitent désormais de ces questions dans le monde universitaire : gender studies, animal studies, bioéthique. Cependant, lorsqu’on lit les textes des fondateurs de ces disciplines, John Money, Judith Butler, Peter Singer, Donna Haraway et quelques autres, on s’aperçoit que, derrière les bons sentiments affichés, se font jour des conséquences absurdes sinon abjectes. Si le genre n’est pas lié au sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? Si le corps est à la disposition de notre conscience, pourquoi ne pas le modifier à l’infini ? S’il n’y a pas de différence entre animaux et humains, pourquoi ne pas faire des expériences scientifiques sur les comateux plutôt que sur les animaux ? Pourquoi ne pas avoir de relations sexuelles avec son chien ? S’il est des vies dignes d’être vécues et d’autres qui ne le sont pas, pourquoi ne pas liquider les « infirmes », y compris les enfants « défectueux » ? Pourquoi ne pas nationaliser les organes des quasi-morts au profit d’humains plus prometteurs ? Jean-François Braunstein a mené un travail considérable et novateur : il a lu les milliers de pages de ces penseurs célébrés dans le monde occidental ; il revient sur leurs idées, leurs contradictions, leur parcours personnel ; il analyse, souligne, contredit, déconstruit. L’erreur consiste à vouloir « effacer les limites » : entre les sexes, entre les animaux et les humains, entre les vivants et les morts. Il convient, au contraire, d’affronter ces limites qui nous constituent. Oui, parfois la philosophie devient folle, quand elle oublie l’homme.
Durée:6h. 53min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:72794
Résumé: Agriculteurs à la retraite, Louis et Lucienne évoquent divers sujets tels que la pollution, le bio et la vie rurale. A travers le récit de leur vie, ces nonagénaires racontent la France de l'après-guerre et l'évolution du monde.
Durée:8h. 59min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:76030
Résumé: Cécile Sorel a été le symbole d'une époque, celle des "grandes cocottes" (ou grandes coquettes) dont on imagine difficilement aujourd'hui à la fois la notoriété et l'influence. C'était juste avant l'apparition des premières grandes stars que le cinéma fera naître à partir de 1940. Sa notoriété lui conférait d'ailleurs un rôle de représentation à l'étranger où elle incarnait l'élégance, la culture mais aussi une certaine forme de légèreté à la française. Sa vie se découpe en trois grandes étapes : d'abord une longue carrière à la Comédie Française (1904-1933), puis dans le théâtre de variétés et au music-hall avant, en 1950, de devenir... religieuse dans le tiers-ordre franciscain. Il était temps de raconter les extravagances en tous genres de cette femme au parcours exceptionnel et plein de surprises, au coeur du Tout-Paris des arts, des lettres et de la politique (autour d'elle on croise Barrès, d'Annunzio, Proust, Coco Chanel, Clemenceau, Colette, Mussolini, Rostand, Guitry...), libre dans ses amours, moderne dans ses opinions, à la fois frivole et perfectionniste, légère et exigeante, curieuse de tout, grande comédienne, pouvant tout se permettre puisqu'on lui permettait tout, défiant la vieillesse et les médisances avec arrogance et courage, puis se mettant entre les mains de Dieu... sans renoncer pour autant à son excentricité.
Durée:8h. 47min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:75486
Résumé: La vie de Sarah Bernhardt (1844-1923) a donné lieu à toutes les inventions. On l'a dite allemande, hongroise, algérienne, américaine, trouvée sur un banc des Tuileries; on a fait des choux gras de son type sémite et brocardé ses origines incertaines. Star avant la lettre, contrôlant son image et sachant la monnayer, la " divine Sarah " a joué un rôle primordial dans l'histoire du théâtre en France et dans la culture de son temps. Sa devise, " Quand même ", illustre bien ce que fut cette femme libre, à la volonté infatigable, élevée de son vivant au rang de trésor national. Jadis inscrite dans le " fichier des courtisanes ", celle que Victor Hugo surnomma la " Voix d'or " fut durant toute sa vie fidèle à ses préceptes : haïr très peu, mépriser beaucoup, pardonner souvent, ne jamais oublier.
Durée:1h. 19min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:73596
Résumé: Ginette Kolinka, qui va fêter ses 98 ans, habite le même appartement depuis qu’elle a dix ans. Elle a toujours vécu là, rue Jean-Pierre Timbaud, au cœur de Paris, à l’exception de trois ans : de 1942 à 1945. Cet appartement, c’est sa vie qui défile devant nos yeux. Il y a les portraits de ceux qui ne sont pas revenus de Birkenau : son père, son petit frère, son neveu. Les disques d’or de son fils unique, Richard, batteur du groupe Téléphone. Les photos de ses cinq sœurs, Ginette est la cadette, des petits-enfants, des arrière-petits-enfants. Les dessins des écoliers, à qui elle raconte désormais son histoire, tous les jours, aux quatre coins de la France. Et même les meubles qu’ont laissés les « collabos ». Ginette nous fait la visite. On traverse le temps : l’atelier de confection de son père, la guerre, ce mari adorable et blagueur. Les marchés, qui l’ont sauvée. Et les camps qui affleurent à chaque page, à chaque pas. Mais Ginette, c’est la vie ! Le grand présent. « On me demande pourquoi je souris tout le temps, mais parce que j’ai tout pour être heureuse ! »
Durée:2h. 32min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:71990
Résumé: Un témoignage inédit d'Irène Joliot-Curie sur sa mère Marie Curie. Alliant vie familiale, anecdotes privées et recherches scientifiques, voici un document rare et émouvant sur une famille d'exception et sur deux " femmes puissantes ", lauréates du prix Nobel avec leurs maris. En 1954, à l'occasion des 20 ans de la mort de Marie Curie, la revue Europe commande à sa fille Irène un article - resté confidentiel et jamais réédité jusqu'à aujourd'hui - dans lequel elle livre " souvenirs et impressions " sur sa mère. Irène y aborde l'enseignement dont elle a bénéficié et qu'elle caractérise d'" un peu désordonné ", l'importance qu'elle et sa mère accordent à la pratique des exercices physiques, aux excursions en montagne ou à la mer, à tout type de loisirs actifs. L'une et l'autre aiment la nature et la poésie, à laquelle son grand-père a initié Irène et que Marie avait acquis dans sa jeunesse. Les années 1914-1918 sont un tournant majeur dans la vie de Marie Curie. Elle équipe des voitures radiologiques et forme des groupes d'infirmières à la pratique des appareils à rayons X. Irène, s'implique très tôt, à 17 ans, dans le travail entrepris par sa mère dont elle devient, avec le même caractère calme et réfléchi que son père, une collaboratrice privilégiée. Elle aura bientôt une place reconnue à l'Institut du Radium où elle entreprend ses propres recherches et rencontre Frédéric Joliot.