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Recherche par auteur : Carroll, Steven

2 résultats.

Durée:6h. 12min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14886
Résumé: Dans un faubourg de Melbourne des années 50 - le temps des dernières machines à vapeur - une famille se rend aux fiançailles d'une voisine. Vic, le père, est mécanicien. Il conduit des locomotives diesel tirant des wagons de marchandises. Il est drôle, fier, un peu poète, épileptique, c'est un personnage. Son problème, c'est qu'il boit. Beaucoup, beaucoup trop. Rita, la mère, travaille, elle aussi, dans la mécanique. Elle est démonstratrice en machine à laver. Elle s'estime mal mariée, songe à une autre vie. Quant à Michael, leur fils de douze ans, il rêve de faire carrière dans le base-ball. Il n'est pas dupe. Il voit bien qu'il y a des choses qui clochent entre ses parents. Il observe le monde, il les observe. Par une belle nuit d'été donc, ils se rendent à pied, tous les trois ensemble, à une soirée. La musique délivre déjà quelques notes, il fait doux, tout devrait bien se passer, même si chacun est plongé dans ses pensées...
Durée:7h. 19min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14946
Résumé: Dans 'Un long adieu' nous retrouvons les personnages principaux de 'De l'art de conduire sa machine', à savoir le couple formé par Vic et Rita et leur fils, Michael, mais quelques années ont passé. Michael mène la banale existence d'un adolescent de la banlieue de Melbourne, c'est dire que ses rêves ont plus d'importance que la réalité qui l'entoure. Il aspire à devenir un jour un des plus grands joueurs de cricket du monde. En octobre 1960, deux événements vont marquer sa vie et le mener au seuil de l'âge adulte : la venue en Australie d'une fameuse équipe de cricket, les West Indies, et la rencontre avec Kathleen, une orpheline, qui sera son premier amour. En quatre mois Michael va apprendre que les rêves ne se réalisent pas toujours, il va connaître la fin de ses illusions, il verra aussi sa grand-mère mourir et découvrira ce qu'est l'absence. Le tableau est sombre, mais il faut accepter de vivre, malgré les désenchantements, les renoncements et les deuils. Et qui sait, peut-être ne ressemblera-t-il jamais à son père, un alcoolique invétéré, époux incapable de communiquer avec sa femme ou avec son fils. Devenir un homme, c'est, justement, un long adieu à ses illusions.