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Recherche par auteur : Baydar, Oya

3 résultats.

Lu par:Jean Frey
Durée:4h. 42min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:36728
Résumé: Diyarbakir, capitale du Kurdistan turc, aujourd’hui : sur les remparts de la forteresse antique de Sur, la neige tombe. Lente, douce et tranquille. Dialoguant avec une mystérieuse interlocutrice, Oya Baydar, figure majeure de la littérature turque et ancienne militante marxiste, revient sur une vie de luttes dont la tragédie kurde contemporaine est l’ultime chapitre. L’idéal révolutionnaire et les bonnes intentions d’une génération d’intellectuels turcs se heurtent, en des chants alternés, à la réalité crue de la guerre et quotidien d’un peuple, pour qui l’urgence est de survivre.
Durée:19h. 56min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:32762
Résumé: "L'avez-vous identifié ?" Convoquée à l'Institut médico-légal de Paris, Ülkü reconnaît sans peine le corps étendu devant elle. Il s'agit du diplomate turc Arin Murat, assassiné la veille. L'homme politique. Son amant, son seul amour. Autour de cette passion inouïe, mise à mal par la lâcheté et les préjugés de l'homme, passion aussi nourricière que destructrice, surgit l'histoire de la Turquie depuis les années 70. Sont décrits les dictatures militaires, les bourreaux et leurs victimes, une jeunesse sacrifiée et engagée, réclamant le droit à la parole et à la liberté la plus élémentaire. Sur ce panorama tissé d'amertume et de colère se détache, flamboyante, Ülkü, personnage obsédant qui traverse tête haute et le coeur endurci les tourmentes politiques et sociales, culturelles aussi, qui ont secoué son pays, le Moyen-Orient, l'Europe et le monde. Ülkü, qui a connu dans sa chair la torture, l'exil, les deuils, la peur et les ténèbres, contemple le désastre avec aplomb d'abord, puis souffrance et bientôt de moins en moins d'espoir.
Durée:16h. 48min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:17596
Résumé: Une nuit dans la gare routière d'Ankara, Ömer Eren, écrivain célèbre en panne d'inspiration, est témoin d'une fusillade. Ce drame décide Ömer à prendre la route vers l'Ouest, vers cette Anatolie, où dix-huit ans plus tôt, il exerçait son âme militante. Il espère y trouver le sens de ce qu'il cherche à exprimer depuis si longtemps et qui ne cesse de le fuir : le mot perdu. Elif, son épouse, une scientifique de renom, s'apprête quant à elle à rejoindre le Danemark pour un congrès, mais surtout pour tenter de renouer des liens avec leur fils unique, Deniz, exilé en Norvège depuis la mort de sa femme, d'origine norvégienne, victime d'un attentat à Istanbul.