Le complexe de la marâtre: être belle-mère dans une famille recomposée

Résumé: Vous pensez avoir la pire des belles-mères ? Ça, c'est parce que vous ne connaissez pas la mienne ! Après nous avoir fichu la paix durant cinq merveilleuses années, voilà que cette vieille bique décide de s'incruster chez nous pendant deux longs mois. Suzanne, ma charmante épouse, se réjouit comme jamais, tandis que de mon côté, je me lamente tout en me préparant à affronter ses perfidies.... Comment vais-je bien pouvoir survivre à une telle menace ?

Résumé: A 15 ans, Julian doit décider s'il veut vivre avec sa mère à Paris ou avec son père et sa belle-mère à Toulouse. Incapable de choisir, il se fait aider par son meilleur ami Fadi et par Lydie, une jeune fille rencontrée dans le train, pour s'installer au sommet d'un arbre à égale distance entre ses deux parents.

Résumé: Je n’ai pas prononcé son nom pendant des années. Tout ce temps-là le mot maman est resté tapi au fond de ma gorge, comme une couleuvre qui refuse de sortir… J’étais la Revenue. Je m’exprimais dans une autre langue et j’ignorais à qui me rattacher. » À treize ans, la narratrice apprend brutalement qu’elle n’est pas la fille de ceux qui l’ont élevée. Enfant unique, choyée, étés à la plage et cours de danse, elle doit quitter la ville où elle a grandi pour être rendue à sa famille biologique : dans son nouveau foyer, au village, il lui faut désormais partager une chambre et de bien maigres repas avec une sœur et quatre frères. Pauvreté, violence, usages, dialecte : tout, ici, lui est incompréhensible. « Orpheline de deux mères vivantes », elle ne sait plus qui elle est. Car, finalement, de qui est-on l’enfant ? Pourquoi ses parents adoptifs l’ont-ils abandonnée ? Et l’amour fraternel de Vincenzo, l’aîné, et d’Adriana, la cadette, sera-t-il assez fort pour dissiper les doutes et la détresse qui l’assaillent ? Roman d’apprentissage d’une immense délicatesse, portrait d’une jeune fille qui renaît à elle-même en s’ouvrant au monde, La Revenue fait partie de ces textes précieux qui bouleversent et qui restent.

Résumé: Utopie ou réalité ? Il est, inévitable, avec le temps, de devenir âgé, mais ce qu'on appelle "vieillesse" et qu'on devrait nommer "sénilité" est une maladie, un processus évitable et réversible. L'antique médecine ayur-védique le prouve depuis des millénaires, ainsi que quelques médecins occidentaux. Vieillir, c'est quoi ? C'est voir d'abord sa peau se rider, perdre de son éclat, de son élasticité, se flétrir, s'affaisser ou, au contraire, s'empâter... C'est le plus visible. Mais les articulations font mal par l'accumulation de poisons uriques, le dos se voûte, les yeux perdent leur acuité visuelle. L'estomac digère mal, on dort mal, etc, bref la carcasse se déglingue. Notre science discute encore les causes réelles de la sénescence. Causes que l'ayurveda connaît depuis tant de siècles. Tous les maux de la sénilité proviennent d'une lente auto-intoxication de l'organisme. Les toxines non évacuées en totalité s'accumulent dans les articulations et dans tous les tissus qui fonctionnent de moins en moins bien. Insidieusement, la sénilité s'installe avec ses maux évitables et réversibles. Ces techniques et pratiques éprouvées ont paru, peu à peu, dans la revue YOGA qu'édite André Van Lysebeth.

Résumé: Bien vieillir, c'est faire un choix, c'est donc savoir éliminer les situations non judicieuses et retenir celles qui vous seront favorables. Car le vieillissement s'anticipe, et tous les excès ou les manquements ne sont pas sans conséquences. Ce livre vous apporte les meilleures solutions pour aider votre organisme à continuer à sécréter les bonnes molécules de vie et à conserver une enveloppe physique harmonieuse et fonctionnelle. La médecine naturelle, l'hygiène alimentaire, les supplémentations, le sommeil, la réduction du stress, les activités physique, cérébrale ou artistique, la sexualité ou encore la yoga thérapie font partie des solutions proposées dans cet ouvrage pour accueillir l'âge d'or avec optimisme. L'auteur aborde également les techniques les plus récentes, telles que l'intelligence artificielle, l'épigénétique et l'exosquelette, qui constituent des moyens modernes et efficaces pour pallier les effets du temps. Conseils précieux et informations scientifiques s'alternent dans ce manuel pratique — destiné tant aux moins qu'aux plus de 50 ans, dont l'objectif est de faire rimer vieillissement et plaisir de vivre !

Résumé: L'auteur décrypte les liens entre les changements climatiques quotidiens et la vie de tous les jours. Il explique comment la météo influence la santé de l'homme, son mental, ses habitudes de consommation, ses humeurs, ses relations sociales ou encore sa capacité à réussir ou à échouer.

Résumé: L'homme qui prenait sa femme pour un chapeau Olivier Sacks décrit dans ce livre les affections les plus bizarres, celles qui atteignent l'homme non seulement dans son corps, mais dans sa personnalité la plus intime et dans l'image qu'il a de lui-même. Il nous fait pénétrer dans un royaume fantastique, peuplé de créatures étranges : un marin qui, ayant perdu la notion du temps, vit prisonnier d'un instant perpétuel ; un homme qui se prend pour un chien et renifle l'odeur du monde ; un musicien qui prend pour un chapeau la tête de sa femme, et bien d'autres... Tentatives aussi pour poser les jalons d'une médecine nouvelle, plus complète, qui, traitant le corps, ne refuserait pas de s'occuper de l'esprit, et même de l'âme.

Résumé: Bien vieillir ? Dans la logique de certains diktats souvent moralisateurs, c'est un credo : il faut travailler, être actif. La paresse ? Un abominable défaut. Même très âgé, il ne faut pas "se laisser vivre" . En réalité, selon Philippe Abastado, il n'est nulle recommandation uniforme ni mode d'emploi unique. A travers l'Histoire, la littérature, la philosophie, ce livre nous aide à percevoir ce qu'être âgé signifie, pour se libérer des préjugés et des clichés si nombreux en la matière. Il esquisse à l'occasion le portrait de certains de ses patients, parfois célèbres, que l'on croit reconnaître. Un témoignage sensible doublé d'une érudition aussi réjouissante que pertinente. Philippe Abastado est cardiologue clinicien et directeur de recherche à Paris-Université en épistémologie appliquée à la médecine.

Résumé: Etude sur la place de l'émotion en thérapie, de la nécessité ou non pour le thérapeute de neutraliser ses émotions, travailler avec le transfert et le contre-transfert ou au contraire de les utiliser en séance. Rendant compte d'un colloque organisé en octobre 2003 par M. Maestre, les auteurs analysent cette question à travers les concepts de résonance et de résilience.

Résumé: "La résilience par le sport, c'est la métamorphose du handicap auquel on ne se soumet pas, et qui nous conduit ainsi à la réparation narcissique. Au concept de "morale sportive", je préfère celui d'empathie, dans lequel je me représente le monde de l'autre. Même sans loi, quelque chose m'empêche. Dans le sport, c'est le règlement qui freine, et non le sujet lui-même. L'empathie est plus morale que le sport. J'aime le sport de "petit niveau" parce qu'il socialise, il moralise, il produit une relation humaine, et fait naître une épopée". Par le prisme du sport, qu'il a pratiqué jeune adulte, Boris Cyrulnik nous entretient de la "condition humaine", avec la bienveillance qui le caractérise. Phénomène social majeur du XXe siècle, le sport constitue à ses yeux un magnifique terrain de reconstruction. Le concept de résilience, qu'il a fait connaitre, trouve dans le sport une application exemplaire. Son approche anthropologique le conduit aussi a former l'hypothèse de la naissance des conventions de jeux dès l'avènement de la conscience de l'autre chez l'enfant, et du plaisir qui jaillira de se mesurer à lui. Ainsi, ce "protosport" de l'homo ludens s'enracinerait dans l'être en devenir dès les premiers temps de l'humanité.

Résumé: « Je sais maintenant, grâce aux récits intimes de mon for intérieur, et aux histoires des enfances fracassées, qu’il est toujours possible d’écrire des soleils. Combien, parmi les écrivains, d’enfants orphelins, d’enfants négligés, rejetés, qui, tous, ont combattu la perte avec des mots écrits ? Pour eux, le simple fait d’écrire changea le goût du monde. Le manque invite à la créativité. La perte invite à l’art, l’orphelinage invite au roman. Une vie sans actions, sans rencontres et sans chagrins ne serait qu’une existence sans plaisirs et sans rêves, un gouffre de glace.

Résumé: Un décryptage de ce qui fait la personnalité des champions : la résilience, cette aptitude à dépasser les handicaps, les faiblesses et les échecs de la condition physique, particulièrement présente chez les sportifs handicapés.