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Byron

Résumé
Une présentation de Lord Byron par le grand écrivain italien
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 1h. 48min.
Édition: Paris, Allia, 2016
Numéro du livre: 32305
ISBN: 9791030400847
CDU: 844

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Durée:5h. 20min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:69677
Résumé: Goliarda Sapienza face aux démons de son passé : cette Lettre ouverte est le premier livre de Goliarda Sapienza, celui où elle règle les comptes de son histoire familiale et devient écrivain. Publié en 1967, Lettre ouverte paraît l'année même où commence l'écriture de L'Art de la joie. Acculée par ses contradictions, ses traumatismes et ses peurs, Goliarda Sapienza a décidé de faire face et de se confronter aux chaos de son passé. C'est cela que nous propose avant tout Lettre ouverte, la conscience d'un conflit intérieur majeur et la volonté de le surmonter. Peu importe si cette aventure oblige Sapienza à couper les ponts avec le monde culturo-bourgeois qui était le sien jusqu'alors, si elle la laisse cloîtrée chez elle, l'écrivaine ira jusqu'au bout : " Je me trouve maintenant avec les tiroirs ouverts débordant de lettres, de photographies. Des rubans, des chemisiers, des livres en tas en plein milieu de la pièce, par terre ; la porte crucifiée par l'échelle que le concierge m'a prêtée. Je ne pourrai plus sortir. Je resterai ensevelie entre le divan et la porte. " Lettre ouverte a d'abord été publié en 2008 par les éditions Viviane Hamy, au sein d'un recueil intitulé Le Fil d'une vie. Pour cette nouvelle édition, la traductrice a entièrement révisé sa première traduction, forte de sa connaissance des oeuvres découvertes par la suite et des singularités - si grandes - de la langue de Goliarda Sapienza.
Durée:5h. 24min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:75691
Résumé: " Fin mai 2022, j'ai acheté, dans un magasin parisien spécialisé dans les randonnées en montagne, un lit de camp, un sac de couchage et une lampe torche. Le lendemain, j'ai installé mon équipement d'alpiniste sur le sol froid du musée de l'Acropole à Athènes pour y passer une nuit de lune décroissante, entièrement seule. Comment arriverez-vous à dormir avec tous ces yeux de marbre qui vous fixent ? m'avait-on prévenue. Mais c'est une nuit dans un musée vide que je m'apprêtais à passer devant l'Acropole. A Athènes, il ne reste que des miettes : un pied de déesse, la main de Zeus, la tête d'un cheval. Nous avons tous dérobé quelque chose à la Grèce : ses idées, à partir desquelles nous avons forgé nos racines occidentales. Les marbres du Parthénon, arrachés à la pioche et envoyés en Angleterre par Lord Elgin au début du XIXe siècle. Dans ce vol collectif, je ne suis qu'un imposteur parmi d'autres : je ne suis pas grecque, je ne parle pas le grec moderne, et pourtant j'ai bâti ma vie et mon écriture sur ce vol. Ce soir, ce privilège sans précédent dans l'histoire du musée m'a pourtant été accordé, à moi, qui n'ai ni Homère ni Platon dans mon sac, mais la biographie de Lord Elgin. " A. M.
Durée:2h. 38min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:74389
Résumé: Quatre essais, encore jamais publiés, certes, mais là ne réside pas leur qualité première : fruit des réflexions d’Elena Ferrante, chaque texte offre un regard passionnant sur les origines et le pouvoir de la littérature.
Durée:9h. 9min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:33582
Résumé: Sur un mur à côté de l'étrange mausolée qui domine le val de Bisenzio, le promeneur ou le touriste en Toscane peut lire peut lire : "Je voudrais avoir ma tombe là-haut, au sommet du Spazzavento (le pointu et rageur), pour lever de temps en temps la tête et cracher dans le courant froid de la tramontane". Cette phrase, dont Malaparte avait demandé qu'elle soit gravée en guise d'épitaphe, témoigne de son attachement ambigu pour la Toscane qui lui a donné le jour et qui est le sujet de ce livre. Sacrés Toscans est l'un des livres les plus célèbres et des plus savoureux de Malaparte, écrit tardivement, en 1955.Ces qualités qui font des Toscans les meilleurs fils de l'Italie, Malaparte va les définir, traçant par contraste et comme en creux le portait des autres Italiens... Maniant avec verve l'érudition et l'ironie, nous menant de Pérouse chez ces fous de Florentins en passant par Prato, sa ville natale, écorchant les pisans, moquant les siennois, vantant les belles Livournaises, nous initiant au vol des poulets à Campi, Curzio Malaparte nous donne une chronique étourdissante de gaieté.
Durée:5h. 32min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:16485
Résumé: Ce livre, le dernier paru de l'auteur, est un recueil de contes et de réflexions sur le monde et " ses remous ". Ici, comme dans ses essais-réflexions, Primo Levi pose un regard à la fois indulgent et implacable sur les hommes. " Je prie le lecteur de ne pas aller en quête de messages. C'est un mot que je déteste, parce qu'il me laisse perplexe, qu'il met sur moi des vêtements qui ne sont pas les miens, et qui appartiennent même à un type humain dont je me méfie : le prophète, le vates, le voyant. Je ne suis pas de cette espèce : je suis un homme normal, doué d'une bonne mémoire, qui a été pris dans un remous de l'histoire, qui en est sorti davantage par chance que par mérite, et qui conserve depuis lors une certaine curiosité pour les remous, grands ou petits, métaphoriques et matériels
Durée:3h. 26min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:67104
Résumé: "Je ne m'étais jamais mise auparavant dans les conditions d'écrire par obligation" , confie Elena Ferrante en ouverture de ce recueil. La romancière, dont l'identité n'a jamais été révélée, se dévoile à travers ces cinquante et une chroniques, publiées de façon hebdomadaire dans le Guardian, en 2018. Evoquant tour à tour la société, la politique, l'écriture, le cinéma, la ville, Elena Ferrante parle de son rapport au monde, et nous invite à repenser le nôtre. Son introspection touche à l'universel lorsqu'elle réfléchit aux liens familiaux, amicaux, à la maternité, toujours attentive à affirmer la puissance du féminin.
Lu par:Lisette Vogel
Durée:7h. 23min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:66082
Résumé: «Cela, le jardin ne le sait pas. De but en blanc, tous les soins cesseront. La nature redeviendra l’unique force en présence, le dialogue entre l’homme et le paysage, exprimé dans le jardin, cet art éphémère entre tous, s’interrompra.» Une passion, un chef-d’œuvre, un jardin en Toscane. Pia Pera y a consacré son temps et son amour. Mais une maladie incurable l’emporte à petit feu et ses forces la quittent. Face à la dégradation de son corps, contrainte peu à peu à l’immobilité d’une plante, le jardin – ce lieu où se manifeste la vie et où se succèdent les «résurrections» – devient son havre de paix et son ultime refuge. En le contemplant, elle tisse un nouveau lien avec la nature et offre une réflexion sensible et émouvante face à la mort.
Lu par:Jean Frey
Durée:9h. 13min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:65618
Résumé: " Trois mille ans après le voyage d'Argô, nous vivons dans un Reader's Digest collectif - nous sommes désormais la version facile, simplifiée, synthétisée de nous-mêmes. L'unique impératif est de ne jamais oser. Ne brûler aucun navire, mais, bien au contraire, les accumuler tous, les uns sur les autres, au cas où ils pourraient servir, au cas où nous laisserions tout pour fuir. Nous regardons encore les étoiles, mais nous ne savons plus nous orienter dans l'immensité que nous sommes pour nous-mêmes. Trouver notre place dans le monde. Nous avons cessé de donner aux constellations le nom de nos histoires. Atteindre son but demande de la ténacité, et surtout de ne pas admettre l'idée que nous pourrions peut-être faillir. Beaucoup de préparation, mais aussi une bonne dose d'ingénuité effrontée, exactement comme quand Jason fut le premier homme de la littérature grecque à prendre la mer - et il n'était qu'un jeune garçon. Il est essentiel de ne jamais oublier, comme Alexandre le Grand le comprit en un éclair, que la victoire ne tient souvent qu'à une étincelle. Celle avec laquelle nous devons mettre le feu à nos peurs, à nos hésitations, à nos doutes pour enfin tout laisser derrière nous. Y compris les navires qui nous clouent à la rive au lieu de nous emmener au loin ".
Durée:12h. 33min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:39485
Résumé: «Ma mère m’a légué un mot de son dialecte qu’elle employait pour décrire son état d’esprit lorsqu’elle éprouvait des impressions contradictoires qui la tiraillaient et la déchiraient. Elle se disait en proie à la frantumaglia.» C’est autour de ce mot, du sentiment d’instabilité qu’il évoque, que ce recueil de textes d’Elena Ferrante s’articule. Lettres échangées avec son éditeur, entretiens, correspondances sont les pièces hétérogènes d’une mosaïque qui éclaire la démarche de l’écrivain et invite le lecteur à entrer dans son atelier. En revenant sur ses romans – de L’amour harcelant à la saga L’amie prodigieuse –, Elena Ferrante prolonge sa recherche autour des thématiques essentielles de son œuvre : le rôle de l’écriture comme tentative de recomposition d’une intériorité morcelée, l’univers féminin, la complexité de la relation mère-fille, Naples. À travers la multiplicité des écrits rassemblés, Frantumaglia offre un parcours original dans l’univers littéraire d’Elena Ferrante, ainsi que l’autoportrait inédit d’un écrivain à l’œuvre.
Lu par:André Necker
Durée:9h. 38min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:6734
Résumé: "Faits divers", une expression française qui désigne ce que nous appelons les faits d'une chronique quotidienne, au fond noir souvent passionnel ou criminel, mais toujours d'une certaine étrangeté et d'un certain mystère. On trouvera dans ce recueil de nombreuses incursions dans l'histoire, récente ou moins récente, de la Sicile, des vols de diamants, des justices expéditives, des fresques fascistes pour décorer une préfecture ; incursions aussi dans la bibliothèque de Sciascia : Masoch et Verga, G. Tomasi di Lampedusa, Longanesi, Borges et Borgese, D'Annunzio, Barthes ou Aragon, où chaque texte est l'occasion d'une réflexion sur le présent, dans les rapports que toute écriture littéraire entretient avec la société civile ; pour terminer par une exploration des liens qui unissent l'homme Sciascia attaché à sa terre au voyageur touriste, à Stendhal. Et plus que jamais la Sicile est métaphore, observatoire privilégié d'où questionner le monde qui nous entoure et celui qui nous attend.
Durée:9h. 25min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:20194
Résumé: Suite à une conversation dans un taxi new-yorkais avec un chauffeur pakistanais qui ne comprend pas qu'un pays puisse exister sans ennemis, Umberto Eco s'interroge. Après avoir constaté les ravages d'idéologies totalitaires telles que le nazisme ou le fascisme, la société actuelle ressent-elle la nécessité de se définir par rapport à un ennemi et de le diaboliser ? Les Etats renonceraient-ils, aujourd'hui, à l'opportunité de créer de nouveaux boucs émissaires pour renforcer le sentiment d'identité nationale et leur pouvoir ?
Durée:5h. 44min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:75962
Résumé: En 1923, avec Le Blé en herbe, Colette signe pour la première fois un livre du nom qu'elle s'est choisi. Sidonie Gabrielle Colette est enfin devenue Colette. Il lui aura fallu un demi-siècle pour se faire un nom et trouver sa place en littérature. Martine Reid retrace le long chemin qui a conduit Colette à s'émanciper de la tutelle familiale et masculine, à réaliser sa propre carrière artistique et à "devenir soi". Elle analyse les places multiples qu'occupe Colette dans la vie privée (enfant, mariée, divorcée) et dans la vie publique (auteure d'abord dissimulée derrière Willy, journaliste, mime et danseuse, modèle de photographes et conférencière). Si, tour à tour femme-enfant, sauvageonne ou figure maternelle, elle se révèle pétrie de contradictions, Colette est avant tout une femme éprise de liberté et avide de défis, dont l'identité, jamais figée, évolue au gré des rencontres et des expériences. Cet essai interroge les faits de la vie, les oeuvres produites et les positions prises. Les replaçant dans un contexte historique et littéraire précis, il fait émerger une "Colette avant Colette" dans toute sa complexité. Il fait également ressurgir un débat qui n'a rien perdu de son actualité : comment exister comme femme dans un milieu littéraire masculin, quelle place y occuper, comment s'y faire un nom, et à quel prix ?